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Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.
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la rime est riche elle serait mieux avec boire et miroirs
Gambi a écrit :Izzy, moi je voudrai mais elle ne veut pas La pauvre ne sait pas, elle a peur, elle hésite Elle a tort la vilaine de résister au roi Mais je l'aurai un jour car ce désir m'ha bite.
.............m'ha[size=15] bite. [/size] GAG, c'est pas rigolo ?
l'aiguillon est l'antre du diable, satan l'habite
TINOU54 a écrit :Gambi a écrit :XIXON........ Un seul XIXON vous manque et tout s'en va en couille J'ai perdu l'appêtit, même la bandaison Encor si ce kono voulait montre sa bouille, Je pourrai espérer reverdir du caleçon. Il est parti fâché, sans rien même apporter Pas le moindre goûter, sans un quignon de pain, La musette remplie de sa seule fierté Qui sied, c'est bien connu aux lyonnais d'Hasparen. [color=purple][b]Ignace de Gamby. Poètequipersesamisles1aprèsleszotres[/b][/color]
Voilà Gambi une poésie/konoterie sur quelques forumistes pour te remettre la tête à l'endroit et trouver des pistes pour tes prochains poèmes Oh toi Gambi de grands chemins, Coeur poésie sinon coquin, Qui s’ennoblit du vent marin, Et Ravachol dans ses musiques, Dièse ou bémol il revendique, La carmagnole et ses reliques, Quant à Bibu le retraité, De sa tribu stade Serger, D’avoir trop bu en a rêvé, Le Papajo qui a séduit, Sa Mamanjo qui est jolie, De leur duo se sont nourris, Que nos messages aident le Vieux, Rendent hommage à son sérieux, Que son courage est merveilleux, La Sup qui boit n’est pas raciste, Ce villageois de socialiste, A fait le choix antifasciste, Et puis Xixon le disparu, Son abandon nous a perdu, Lui le fleuron du verbe crû, Outre le Phil qui se promène, En nécrophile à Ségolène, Et lui enfile ses bas de laine, Quand BMF boss du labo, Du MLF aux beaux lolos, Vient sur RF il y fait chaud, Sir Olivier c’est le taulier, Dans ce merdier il prend son pied, Si tu l’fais chier est sans pitié, Pierre Edouard le parisien, Solide pilard très cartésien, En vieux roublard n’a peur de rien, Si l’Intello enfant de Grasse, A bien du pot dans son palace, Sans apéro il boit la tasse, Ou bien Fabien de la Gironde, Cuve son vin se dévergonde, Au quotidien s’offre des blondes, Cracks a la main sur les mots bleus, Ceux que l’on peint avec les yeux, Dans un écrin pour amoureux, Quand Mimici ou le Jean-Luc, Ont un répit et font leur truc, Tous leurs écrits ne sont caducs, Passe ton ballon est orphelin, Pleure son chichon a du chagrin, Son horizon est incertain, Akerreta ko bidea, Nafarroa Xiberoa, C’est le pacha de l’axoa, Et cent vingt trois ou deux vingt huit, Trop à l’étroit dans les limites, Leur ton grivois fleure l’insolite, Que se passe t-il quand vient la Douce, Avec son style et sa frimousse, Comme un pistil sort de la mousse, Mais où butinent les Givordines, De Maryline à Mélusine, Sans ballerine c’est une ruine, Que font Izzy ou Barriquette, Sont-elles en vie parties en quête, Ont-elles aussi du mâle en tête, Boigne et Bernard de Chambéry, Les savoyards du haut débit, Sont en retard au chimili, Le Forzalou est jardinier, En vrai gourou du bon fumier, Cultive choux ou bien fraisiers, Si Calista joue du sifflet, En Romania fait de l’effet, Le Nirvâna sera complet, Les Artrosiens sont au moins deux, Pour être bien soyons joyeux, Si y’en a qu’un c’est Louis 2, On a pigé JPGG, Fallait oser aussi Nietzsché, Pour délirer c’est compliqué, Ont disparu de cet espace, Les gens repus qui laissent place, Aux bienvenus de faire trace, Que dire alors de ce jardin, Dans ce décor de baladin, Si l’on en sort c’est donc la fin. Tinou 15-04-2010
Bravo à toi "Tinou" T'as un certain Don En parlant de nous Tu es trop bon
Ce n'est pas le chimili, mais un personnage illustre à reconnaître
ravachol a écrit :on nous a bassiné toute la soirée avec la photo de Rimbaud, contrebandier à Aden ( Yémen pour Fabien ).
quelle soirée ?
Devinette. Trouvez le verbe Enfin nous voilà seuls Dans cette nuit sans lune Tout seuls, sous le tilleul Viens me ..... les burnes. Voilà cinq petits points Du verbe éliminé Cinq petits points coquins A vous de le trouver. Le gagnant aura droit à une démonstration
Dernière modification par Gambi (22/04/2010 16:29:43)
sucer
NON
10 Mai, jour de la délivrance Je pars, je m'en vais, je me casse Enfin..c'est bien ma chance Je pars voir mes blondasses. Vous n'allez plus me voir Pour quatre ou cinq semaines Je vous dis au revoir Bye Bye!!! j'ai de la veine. Ignace de Gamby. Poèteheureuxdesecasser
Gambi a écrit :10 Mai, jour de la délivrance Je pars, je m'en vais, je me casse Enfin..c'est bien ma chance Je pars voir mes blondasses. Vous n'allez plus me voir Pour quatre ou cinq semaines Je vous dis au revoir Bye Bye!!! j'ai de la veine. Ignace de Gamby. Poèteheureuxdesecasser
Mais le 10 mai pardi, n'est pas pour demain soir, reste du temps Gambi, pour se dire au revoir, et si dans ton exil, tu sens la délivrance, alors pas de péril, mais plutôt de la chance. Qu'entre les mains des belles, tu t'offres un beau séjour, et que ces demoiselles, te donnent un peu d'amour, tout au long des semaines, t'apportent du bonheur, avant que ne revienne, le seynois au grand cœur.
C'est merveilleux. BRAVO!!!!!!!!!!!!!! Si tu es d'accord, à mon retour on trouve un thème, des personnages et on se fait un théatre de rimes, mais pas sur le site.
Gambi a écrit :C'est merveilleux. BRAVO!!!!!!!!!!!!!! Si tu es d'accord, à mon retour on trouve un thème, des personnages et on se fait un théatre de rimes, mais pas sur le site.
hou là restons cool, je n'ai pas le temps, et n'ai plus envie de m'emmouscailler la vie ! Continuons sur RF en essayant de satisfaire (et de faire venir ou revenir) les amateurs de poésie, ça ne me paraît déjà pas si mal
A toi Guitou, notre vieux… Notre vieux va partir, empli de souvenirs, Rejoindre libéré, son logis rénové, Et qu’ainsi d’avenir, il pourra sans frémir, Au sein de son foyer, de son gré nous parler. Que demain dans l’espoir, il vive son histoire, Et que dans ses passions, il s’ouvre un horizon, Que le ciel gris bleu noir, le protège le soir, Tout au long des saisons, au cœur de sa maison. Nous voulons aujourd’hui, te dire un grand merci, Témoigner avec toi, de ce moment d’émoi, D’avoir lutté sans bruit, sans crier ton souci, De partager ta foi, et nous montrer la voie. Et quand viendra l’hiver, ses nuits et ses mystères, Pris dans tous les tourments, de douleurs en calmants, Tu sauras soldat fier, surmonter tes misères, Que tout au bout du champ, se cache le printemps. Tinou 04-05-2010