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Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.
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Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! hier, les Ardéchois oranges quittaient leur terres pour s'en aller écrire une nouvelle fable ... à Fontaine, entre Néron et Vercors. Malgré leur déroute du match aller, les Isérois semblaient depuis en meilleure forme et leur invicibilté à domicile en était une preuve. Un fort vent du sud balayait la pelouse en long et les Bleus de Fontaine (et non de Sassenage pour ceux qui aiment le fromage) choisirent de jouer contre celui-ci au premier round. Ce fut, je pense, une erreur stratégique de leur part. Dès le coup d'envoi les Tangos occupèrent la place, en leader bien organisés et sans être geniaux marquèrent régulièrement, d'abord par l'artificier habituel (6/3) puis par la fougueuse jeunesse (13/3 puis 18/3) et un drop de dinosaure permit aux visiteurs de passer la mi-temps avec 21/6 au tableau d'affichage. Le moral des bleus semblait touché et il restait aux Privadois de gerer leur avance en restant patients et disciplinés face aux assauts un peu désordonnés des banlieusards grenoblois. Dès la reprise on passa à 24/6 puis 31/6 suite a un très bel essai où la vélocité des trois quarts ardéchois vint conclure (par un minot de la crèche) un beau travail de conquête des avants solidaires. La messe était dite et l'essai de Fontaine dans les dernières minutes relevait de l'anecdote.(31/13) Le travail accomplit, les Tangos partirent l'âme légère malgré la défaite 14/12 des reservistes qui se mélangèrent un peu les pinceaux contre une équipe très joueuse. Le retour fut moins long sauf peut-être pour le chauffeur que nous aurions plaisir à ne plus revoir si possible ... Bref, encore un bon Dimanche. En ce retour du printemps, pensez a rester Libres Je vous enlace Basgi et Libertà P.A.
j'attend ton article Mr Ange Pasucci
Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Cher Richy, me voici. Dans une dernière tentative humide et froide d'un hiver qui se termine, les Tangos se rendaient une nouvelle fois à Izeaux (la première fois fut caduque, le pigeon voyageur annonçant le report du match avait du se perdre entre plateau de Chambaran et gravière de Poliénas ...). L'objectif était de continuer une série victorieuse tout en ménageant quelques guerriers pour les joutes d'Avril, importantes pour le devenir du club. Les joueurs furent ménagés mais de victoire, il n'y en eu pas. Dans des conditions bretonnes, face à des Isorois (!) determinés, les tangos firent le boulot en première mi-temps en remerciant un peu la chance de voir 2 pénalités inratables ratées et un en avant maladroit sur la dernière passe entre 2 jaunes et noirs bien seuls presque dans l'en-but. Une ou deux actions sporadiques oranges et noires ainsi qu'une conquête propre montraient au courageux public que la place de leader des ardéchois pouvait se comprendre, mais rien ne fût marqué avant la pose. La reprise fût Isoroise et, sur un des coups de butoir des Jaunes et noirs, l'ultime rempart ardéchois, tel Roberto Carlos, commit un tacle glissé redhibitoire, sanctionné de Jaune par un arbitre agréable au demeurant. La supériorité numérique profita vite aux nuciculteurs qui, par deux fois, franchirent la ligne ardéchoise pour un 12/0 à une vingtaine de minutes du terme. On pensait que les Ardéchois appliqués mais guère survoltés allaient laisser filer le match mais leur condition physique bien meilleure (sans forfanterie) que celle de leurs adversaires leur autorisa une remontée au score sur un essai collectif (suite a un groupé pénétrant, digne des tortues romaines, relativement long) et on eu put penser à un retour au score si quelques minutes avaient prolongé une rencontre disputé dans un excellent état d'esprit. Il n'en fût rien, les jaune et noirs s'accrochèrent de façon solidaire et leur joie du coup de sifflet final fût méritée et fit plaisir à voir. Les joueurs des 2 camps, fourbus et mouillés pouvaient rentrer aux vestiaire, le boulot accompli. Les reservistes ardéchois, également deans des conditions difficiles, se sont pris les pieds dans le tapis concédant un drop à l'ultime (voire un peu plus) minute. Le retour fut malgré tout agréable et Dimanche prochain marquera ... la fin des vacances! Richy, n'oublies pas de rester libre ! Basgi a tutti et Libertà. A.P.
Merci pour cet article au top. Une petite précision les habitants de Izeaux sont les Uzelots!! Bonne continuation et je reste libre!
Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Il est peut-être temps que tout ça se termine.... Ou, du moins que les matches prennent une autre saveur. Hier, sous un soleil à faire bander un lézard, l'avant dernier match de poule (dernier de la phase régulière à domicile pour les tangos) pouvait permettre d'assister à une rencontre débridée, sans grand suspens vu que le résultat n'avait aucune importance ni pour les ardéchois, sûrs de leur première place du cômité et des bressans bien calés à leur niveau sans ambitions de qualification ni stress de descente au niveau inférieur. Il n'en fut rien. Il est vrai qu'a manger du caviar tout les jours, un repas de cantine semble bien fade ... et c'est un peu ce que nous ont servi des Tangos empêtrés entre les envies d'une victoire rapide, la peur des cartons, le peur des blessures, la suffisance d'un premier de poule, la fatigue de grosse charges d'entrainement des cycles actuels et l'installation d'une routine pernicieuse que le confort des victoires empilées peut induire. Mais on ne leur en veut pas. Bref, face à des adversaires venus dans un premier temps pour limiter d'éventuels dégats, les fonctionnaires privadois ont fait le boulot pour une victoire 9/3 dans un match soporifique, dont seul les coups de sifflets règlementaires tenaient réveillé un public exigeant. Les visiteurs ne lachèrent jamais, utilisant tout pour brouiller les pistes, ils y parvinrent, tout ce petit monde bien conscient de la mièvre prestation s'énérva et on vit tout ce qu'on ne voudrait plus voir jusqu'à le fin de la saison entre chamailleries, commentaires, faute de pieds, fautes de mains, fautes de vilains ! Finalement tout se termina, ensemble, autour de quelques bières sous un soleil qui ne voulait pas se coucher. Voilà donc un petit dimanche de plus qui nous rapprochent vers la fin du calendrier qui promet d'être plus excitant (et certainement plus compliqué) Les seniors reservistes ont validé également leur ticket pour faire du rab, tout le monde reste dons sur le pont. En attendant, je vous enlace et .....Libertà ! A.P.
Pas d'analyse cette semaine, j'étais curieux de lire le compte rendu du match à grane, bonne chance pour le retour les tangos
Amis des assidus du feuilleton tangos et de leurs aventures ovales, bonjour ! Après un silence de quelques trois semaines, je reviens vers vous pour faire un petit point sur les 2 demi-finales Drômardéchoises,sésame pour la grand'messe Pompidousienne (qui semble avoir autant d'importance pour les chers aficionados de notre région que la dernière corrida de juillet de Pampelune, à croire qu'il 'y a rien après , bref ...) Dimanche 15 Avril, à le piscine municipale de Grâne, les tangos avaient oublié leur brassards et se sont contenté de s'ébrouer,voire de patauger face à de valeureux adversaires, bien décidés à faire couler le favori ou du moins lui faire boire une bonne tasse. ils y parvinrent. Presque du moins. Le vent froid et la bruine nous faisait plutôt penser à une joute bretone et les cornes de brumes ajoutés aux fumigènes rouges et blanc du début de rencontre confortaient cet idée de port breton. Il ne manquaient que les mouettes. Le match fût pauvre, les joueurs des 2 camps besogneux, alternant les maldresses compréhensibles et les quelques intentions timides furent vite freinées par une flaque ou autre glissade candeloresque. La seule série de 3 passes fut au crédit des Grânois en milieu de 2ème mi-temps suite à un ballon récupéré sur un jeu au pied ardéchois approximatif. Le match fût donc équilibré et le score de 3/3 à 10 minutes de la fin était à, mon sens, juste. (les 2 camps ayant raté leur lot de pénalités). Sur deux fautes Orange tardives, le buteur grânois donnait une victoire 9/3 à son équipe, laissant repartir les 2 adversaires du jour, les uns avec une joie bien exprimée et bruyante et les autres avec plein d'incertitudes, se préparant à une semaine difficile. Elle le fût. Entre souvenir de l'année précédente qui nous avait vu nous prendre les pieds dans le tapis au même niveau de compétition contre une équipe supposée plus faible, s'ajouta la perte de joueurs abimés par les bains de boue grânoise et peut être une perte de confiance quant à notre capacité a inverser un score déficitaire de 6 points. Seuls les quelques rayons de soleil annoncés en fin de semaine apportaient un peu de crédit a une issue heureuse pour des perspectives de finale. Hier, au stade du lac, c'était donc l'affluence des grands jours, les supporters des 2 camps avaient pris place dans une tribune presque trop petite. A 5 minutes du coup d'envoi, les deux équipes se croisant sur le chemin de retour aux vestiaires après leur échauffement nous gratifièrent d'un concours de celui qui avait la plus grosse, caricatural et surtout inutile. L'équation était simple pour des Tangos en quête de points, il fallait scorer rapidement pur étouffer le moindre espoir Drômois. Ce fût le contraire et un scénario catastrophe (pour les tangos) se mit enplace: 3/0 puis 6/0 et encore 9/0 pour les Grânois dès les premières 20 minutes, puis 12/3 vers la 30ème. Un essai des tangos sur la première attaque digne de ce nom nettoya un peu la mauvaise entame préféctorale et surtout révéla quelques failles dans la défense Drômoise. La mi-temps permit aux épaules de se ressouder et aux esprit oranges de se remettre en ordre de marche. La deuxième mi-temps fût d'un tout autre calibre et le capital confiance des grânois fût rapidement emietté. La suprématie dans le jeu et dans la condition physique du leader présumé se mit en place. Tout naturellement et avec beaucoup d'application et de solidarité (qui n'est pas l'appanage exclusif du rugby de village) en augmentant le volume de leurs jeu, les Privadois marquèrent 2 nouveaux essais et s'offrirent un capital points suffisant pour penser à la finale. Il y eût certes une réaction rouge et blanche, notement dans l'occupation du terrain dans le dernier 1/4 d'heure mais ce fût un peu trop décousu et approximatif pour déséquilibrer des jeunes Tangos aggressifs en défense. On cru un instant au retour grânois sur une passe au pied pour un ailier isolé mais un retour rageur d'un ardéchois qui ne voulait pas mourir ruina les espoirs rouges et blancs. Pire, sur une attaque précitée par l'énergie du desespoir, une interception Tango-assassine scella l'issue d'une rencontre aux deux visages. A 16h30 sur le pré, il y avait du monde, beacoup de joie, de soulagement et de respect pour un adversaire valeureux d'un côté, larmes de déception mais aussi fierté et sentiment du devoir accompli chez les vaicus qui pourront certes regretter de ne pas avoir su garder leur avantage de points mais aussi être fier d'être arrivé jusqu'à ce niveau de compétition en ayant déjà atteint leur objectif du maintien. Demain s'ouvre une finale, fruit d'une saison de travail mais aussi de sacrifices de certains pas ou trop peu récompensés mais il est des moments qu'il faut savoir vivre, même si tout ça n'est que du rugby, celui d'hier en était un. La soirée fût belle, très belle et comme dirait sirop.... Champagne! Restez libres et Libertà Je vous enlace. A.P.
Dernière modification par Ange Pastucci (23/04/2012 13:50:49)
J'adore !
Amis des assidus du feuilleton tangos,de leurs aventures ovales et ... de l'aspirine, bonjour ! Samedi c'était donc la grand messe chez Georges, rendez-vous printannier des amateurs de rebonds capricieux, graal sportif et juge de paix d'une rivalité factice Drômo-Ardéchoise. Tout le monde était là, les grands, les petits, les gros, les maigres, les chauvins, les neutres, les connaisseurs, les autres, ceux qui écrivent sur les forums, les supporters, les jaloux, les filles, les garçons, les rouges, les jaunes, les noirs, les verts, les bleus, les blancs et bien sûr, les Tangos. Nous sommes arrivés pour le dessert (car c'est nous qui devions le préparer) vers 18h45 et le stade était déjà bien imprégné de toutes les joutes précédentes. Nous croisîmes entre le bus et les vestiaires des yeux embrumés, des sourires, des maquillages délavés, des drapeaux sortis, d'autres rangés, bref, quelques signes qui montraient bien que si, pour les Tangos, l'histoire restait a être écrite, pour d'autres, tout était déjà dit... et que cela était d'une futilité désarmante. Débarassés de la finale Grânoise et du syndrôme de la défaite prématurée, les Tangos abordaient cette finale avec sérénité et certitudes : sérénité du travail accomplit depuis toutes ces dernières saisons et certitudes de jouer contre le rc Guilherand Granges, un adversaire respectable, respecté (aussi pour son travail assidu des dernières années) en pleine forme et au style de jeu ambitieux, bien coachés. La présence d'ailleurs, à ce stade de la compétition, de ces deux équipes est un témoignage rassurant pour le Rugby et montre bien que le hasard n'a rien à voir la dedans. Bon, le match : On va dire que les 2 équipes étaient au complet (bien que si on écoute Pierre, Paul ou Jacques des 2 côtés, il manque toujours le pilier de 115kg qu'a une angine, le géant des flandres de baptême, 2 troisième lignes suspendu injustement et l'arrière funambule au mariage de sa grand mère...) Je ne sais pas comment les Grangeois ont préparé la rencontre mais je peux vous révéler que les Privadois étaient concentrés, décontractés mais très déterminés. L'entame fût idéale pour les Oranges adossés a un vent du sud violent (c'est peut-être une des clés du match, erreur stratégique de la part des jaunes et rouges qui veut que par habitude on prenne le vent contre en première mi-temps.) Après une belle conquête, sur la première attaque préfectorale, le déséquilibre fut fait et un tango s'écroula balle en main sous les poteaux (7/0). Contre le vent, il aurait fallut des Grangeois plus forts pour contrer les Privadois bien en place et la défense rouge et jaune céda rapidement une deuxième fois sur une nouvelle attaque pour un 14/0 à la 14ème. Le vent ne permit pas au buteur Grangeois de trouver la mire la seule fois où il en eut l'occasion. Groggy, les rhôdaniens se refirent un peu la cerise et le jeu s'équilibra enfin sur les 10 dernières minutes de la première mi-temps avec beaucoup d'intention de jeu des 2 côtés, pour, je crois, le bonheur des spectateurs plutôt habitués à des finales fermées. Mi-temps 14/0. Les consignes Privadoises du temps de citrons (en attendant celui des cerises ...) étaient simples: contre le vent, conservation du ballon (si possible), utilisation du côté fermé, peu de passes et patience et disipline face au probable barroud d'honneur des rouges et jaunes touchés mais pas coulés. L'entame du 2ème acte fût pourtant quasi identique à la première et les Privadois inscrivirent rapidement un 3ème essai transformé (21/0) à la 44ème. La barre devenait très haute pour des Grangeois un peu désamparés. Malgré une certaine domination territoriale, une succession de fautes Tangos (qui induit un carton blanc d'un de la première ligne) et leur deux essais recompensant une belle débauche d'énergie, cela ne suffit pas, les audacieux Privadois avaient pendant ce temps remarqué une pénalité et encore un essai transformé, sonnant le glas d'une défaite annoncé pour les rouges et jaunes. 31/10 à 10 minutes du terme. Les Tangos, par un coaching sans faille et par une application de polytechniciens aboutie ont géré cette finale avec maturité, offrant à leur proches un pur moment de bonheur que les hommes savent vivre. Le coup de sifflet final fût anecdotique tant tout le monde savait depuis quelques minutes de quel côté aller migrer le bouclier. Les bras se levèrent, les enfants se ruèrent au centre du terrain (certains les plus petits, sans trop savoir pourquoi ) Le staff souffla, mesurant le chemin parcouru et le public s'accapara un moment cette victoire, ce disant qu'après tout, il devait bien y être pour quelque chose... J'aime ça, j'aime quand les hommes deviennent des frères, j'aime quand le projet des uns permet à d'autres de se réaliser, j'aime quand cela se fait sans trop de démesure et dans le plus grand respect d'un adversaire valeureux et fier. C'était le cas hier. Il est toujours facile d'être fair-play dans la victoire mais je pense sincerement que samedi, sur la pelouse de Georges, il n'y avait que des serviteurs d'un sport admirable qui permet à chaque individu quel qu'il soit d'exister à travers les autres. On parle souvent des valeurs du rugby, sachez qu'elles n'existent pas. Parlons plutôt des valeurs des hommes ... qui jouent au rugby. Je vais prendre de l'aspirine en ésperant ne vous avoir pas trop saoulé. Je vous enlace, pensez a rester LIBRES sans oublier que tout ça ne reste que du rugby. Basgi et LIBERTA A.P.
Dernière modification par Ange Pastucci (30/04/2012 09:24:15)
O Ange ! Belle prose... Vous me régaler, que vous passiez des tours et des tours en phases finales pour que nous ayions l'occasion de vous lire longtemps. Votre équipe parait soudée et parée pour en contourner plus d'un. Forza Tango !!! Uniti Vinceremu !!!!
Amis des assidus du feuilleton tangos,de leurs aventures ovales et ... de l'aspirine, bonjour ! Ca y est ! les pâquerettes sont sur les terrains, les drapeaux de couleurs, les cornes de brumes de sortie, les minots ont les maillots des papas et les filles sont maquillées aux couleurs de leur chéris ... les phases finales sont là. Hier, au stade Donnadieu de nos amis du RC RP (à Romans) à qui j'adresse ces premières lignes tant leur acceuil et la reception fût à la hauteur (même au-delà) de l'événement, les tangos étrennaient leur titre de champions Drôme Ardèche en 32ème contre le vice champion des Alpes, Izeaux, dans une sorte de "belle" (les 2 équipes s'étant rencontrées en poule pour une victoire chacun à la piaule). Les Ardéchois sereins et déterminés avaient à coeur de franchir se premier obstacle face a des isérois auréolés d'une belle finale alpine, perdue d'un souffle la semaine dernière. Le mistral était lui aussi de sortie et venait balayer un peu trop violement le pied du vercors pour traverser le stade dans le sens du terrain (détail mais pas que ...) Je ne sais dans quel état d'ésprit de jeu les Uzelots se présentèrent à Romans mais les Tangos s'étaient promis de profiter de l'instant et de jouer de la première minute à la dernière pour au moins, ne rien regretter. Les Isérois firent l'erreur de choisir de jouer contre le vent et se mirent tout de suite sous la pression du vent et de la belle intention de jeu des prefectoraux, ne parvenant pas à sortir de leur territoire. les premiers points furent Ardéchois (3) et les moindres intentions offensives des jaunes et noirs furent vite phagocytées par des épaules tangos intrétables, pire, sur une passe hasardeuse, le système organisé et la filouterie de l'un des leur, permit une interception qui se termina sous les poteaux isérois pour un 10/0 à la 25ème. Le jeu se parasita alors de quelques pustules hors d'âge dans les regroupements et quelques visages laissaient apparaitre des stigmates d'embrassades peu catholiques. Intervint peut-être alors un tournant du match, à la 30ème, au milieu du terrain; une penalité sifflée en faveur des jaunes et noirs sur un mauvais geste revenchard d'un Tango fut retournée après une intervention Uzelote non appréciée par le rossignol dominical. Pénaltouche-cocotte Tango-éclosion de l'oeuf en terre promise- 17/0. Le match s'équilibra un brin mais la domination territoriale ardéchoise permit un 23/3 aux temps des citrons (celui des cerises étant là depuis une semaine). Face au vent, les tangos habitués se devaient de contrer des Uzelots de plus en plus agressifs, concrétisant même une pénalité face aux poteaux. (23/6). Mais, s'égarant dans quelques combats d'un autre âge et de façon un peu désordonnée, les Uzelots s'étiolèrent et, encore une fois, la défense sans faille des ardéchois provoca un "lâcher de ballon" dans les 30m Privadois qu'un Usain Bolt tango transforma après une course de 70m (plus quelques virages) pourtant suivi par une meute jaune et noire desespérée . 30/6 à 20mn de la fin, la messe semblait presque dite. Dans un sursaut d'orgueuil, un Isérois fût bien propulsé dans l'en-but Tango en bonne position mais la transformation de cet essai repoussée par le poteau (signe peut-être que la chance avait déja choisi son camp) laissa encore un avantage complaisant aux Ardéchois (30/11) à 10mn du terme. La fin fût presque laide; la domination ardéchoise reprit de plus belle et un ultime essai orange sonna le glas des espoirs uzelots et déclancha quelques spasmes belliqueux latent depuis quelques minutes. 35/11, score final. La bière fût bonne, évidente. On eut même droit à un détour touristique du a un mélangeage de crayons de notre chauffeur du jour qui nous gratifia de quelques kilomètres d'autoroute supplementaires,qui n'eurent aucune incidence sur la bonne humeur du groupe, nous ne manquions de rien. Le retour et l'acceuil à la maison du rugby fût encore un bon moment de partage entre joueurs et tous ces trvailleurs de l'ombre qui font qu'il est bon d'être Tango et d'avoir la fameuse "tango attitude" ! Dimanche sera un autre jour Pensez à rester Libres, je vous enlace Libertà A.P.
Dernière modification par Ange Pastucci (14/05/2012 10:13:04)
Bravo à vous les ardéchois! On était complètement à bout de souffle en cette fin de saison! Je vous souhaite un beau parcours et bonne chance pour la F3
Merci à vous pour le spectacle offert hier ! et merde pour la suite ! Signé : un juge de touche quelque peu douché à la bière par un fougeux supporter tango (faute excusée à moitié pardonnée !!)
Il va falloir arrondir les ANGLES? attention gros devant aux ANGLES