Pour l'instant c'était plutôt en basket...

la c'est plus le bruit des baket sur les monter d'escalier qu'ont entend !! mais esperon vite l'entendre ce son de crampon!!

Ce soir, au stade du lac, premier petit galop ( peut-être trot serait mieux adapté) contre nos amis du R.C. Romans. Est ce que ça va ressembler à du rugby ? Cela va dépendre de plusieurs facteurs : licences validées, état de forme, état des formes, analyses post-tapas et post merguez, température exterieure, joueurs encore touristes, touristes se croyant joueurs, bref , n'oublions pas que nous sommes encore en aout.... Dans tous les cas, Libertà !!! A.P.

amis de cette poule 2 qui sent si bon l'andouillette, la tartiflette et ...la chataigne, Bonjour ! Après les aggapes estivales et quelques foulées champêtres de reprise ovale, les joyeux Tangos vont entrer dans le VIF du sujet ce dimanche, point de départ d'un championnat honneur inter-régional que l'on souhaite plein de suspence et surtout plein de beau rugby. Certes, après une rélégation de fédérale 3 inévitable face à des escouades provençales riches et multivitaminées, les Ardéchois devraient prétendre à un parcours plus adapté à leur niveau, face à des adversaires certes coriaces et ambitieux mais de dimension plus ... humaine. C'est notre voeu le plus pieux. Le déplacement isérois de Dimanche aurait été préparé de façon plus sereine si l'effectif n'avait pas souffert de luxations, torsions, contusions et autres infections mettant déjà sur le flan de valeureux guerriers mais le moral reste au beau fixe, sachant très bien, par expérience, qu'un effectif régulièrement complet relève d'une utopie proche de celle décrite par ce cher Aldous HUXLEY dans "le meilleur des mondes" (Aldous qui, d'ailleurs, a débuté 3ème ligne aile au RC Villeneuve de Chtougatte, bien connu de mes lecteurs). En esperant que, en ce jour d'ouverture cynégétique, les sangliers de la porte du Trièves n'auront pas la défense trop aiguisée et que cette première joute officielle se termine par un bonheur ardéchois. Libertà ! A.P.

Bien me voilà de retour sur ce post si champêtre. Ce dimanche s'annonçait plutôt ensoleillé, en effet après une découverte fabuleuse de la peuplade de ce bourg, son marché si typique, son restaurant plein de vie, ses clientes "cougar" prêtes à tout pour croquer de la chair fraîche, son terrain de rugby avec une pente d'environ 8%, nous Tangos nous nous apprêtions à passer une merveilleuse après-midi de jeux ludiques et variés comme savent nous le proposer tous ces clubs qui comme ça surgissent au détour d'un virage ou bien encore d'une colline. Hélas il n'en fût rien, une infernale conjonction d'évènements allait contrarier ce si magnifique Dimanche de septembre. Je pourrai vous décrire minute par minute ce douloureux souvenir, mails le fait le plus marquant de cette joute fût incontestablement la "course folle" de Thierry BECCARO !!!!!!!!!!!! Et oui je casse la légende Beccaro est Ardéchois, ah ah, surprenant pour celui que l'on surnomme le génie de la boule noire..... Un peu d'historique, Thierry Beccaro est né d'un père sprinteur Hus einbolt (coureur de demi-fond actif tyrolien) et d'une mère professeur agrégé du mouvement de la foulée retenue déambulatoire, c'est ainsi qu'il put s'adonner sans compter à sa passion : le gas-oil. Ses études poussées en dieselisme (ne pas confondre modélisme) firent de lui un athlète complet, son développement jambulaire ét

grizzlii du coiron a écrit :

ait si efficace que le club Privadois lui demanda avec la plus grande humilité de rejoindre ses rangs. Notre admiration sans faille joua un tour à ce garçon attachant qui par excés de confiance (rappelons que des essais de plusieurs dizaines de mètres voire centaines étaient marqués) sombra dans une consommation excessive de sa boisson fétiche à l'époque : le Mazout (pastis coca cola), après une traversée de Nouméa en plongée sans palme notre coéquipier avait retrouvé la voix chtougatoise a travers une lecture purement attractive des moines shaolin à une couille. Et c'est ainsi que Beccaro éprit d'une fougue sans précédent, d'une confiance en lui monumentale se lança dans un sprint d'anthologie ou tous les styles corporels et physiques se mêlèrent pour nous donner un résultat bluffant : en 12 lettres A . . . . . . . . . . N !!!!!! MAIS MOTUS, Beccaro pourrait nous lire.

enorme !!! (j'en pleure) A.P.

Amis de cette poule 2 qui sent si bon l'andouillette (AAAA), la tartiflette et la chataigne, bonjour ! Hier, les Tangos ont perdu. Hier, les tangos ont perdu leur(s) match(es) Hier, les tangos ont perdu un centre, un pilier, une licence, les pédales, la mémoire pour certains, et surtout leurs sourires, pourtant marque de fabrique depuis quelques années. Entre une équipe iséroise humble, promue, pleine d'incertitudes, se demandant à quelle sauce elle allait être mangée par un ex pensionnaire de fédérale 3 et une bande de touristes, sympathiques certes, mais un peu pleins de suffisance, la victoire a hésité un long moment, basculant finalement vers ceux qui la méritaient le plus. Dans un match de niveau pauvre, entre incertitudes et approximations dans les 2 camps, seul le soleil radieux et les montagnes assuraient le spectacle. Il faudra une autre copie dès dimanche prochain, contre un autre promu, pour que les sourires reviennent fendre les gueules ardéchoises sevrées de bières. Libertà A.P.