Le problème le voici résumé dans ces quelques lignes parus dans le journal le sud-ouest, je pense que plusieurs joueurs à St Etienne rentrent dans ce cas de figure, pour l'instant c'est encore légal même si la fédé se penche sur la question car effectivement c'est dégueulasse mais tant mieux pour vous si vous pouvez en profiter pour le moment (tu vois je n'ai pas changer de discours) :
« Les clubs Assedic »La FFR, qui s'est penchée sur le dossier, a rédigé une convention collective pour doter d'un statut les joueurs de Fédérale 1. Or on peut estimer à 20 % la proportion des rugbymen de la division qui disposent d'un contrat de ce type. Les autres ? Tous amateurs, en théorie. Dans la pratique, ce n'est pas toujours vrai. Divers montages financiers (« dont certains, selon un acteur du rugby, doivent être ''border line'' par rapport à l'Urssaf ») permettent de rémunérer des joueurs qui ne sont pas pluri-actifs. Des solutions le plus souvent légales, mais pas forcément pérennes.« J'ai vu par exemple des joueurs qui ont préféré rester au chômage plutôt que prendre un contrat chez nous », raconte Michel Macary à Périgueux. Avec un plafond chômage à 5 700 euros net et quelques frais de déplacement bien sentis, un joueur sortant de Pro D2 peut toucher plus de 7 000 euros par mois pour évoluer en Fédérale 1 (alors que le salaire moyen en Pro D2 est de 5 500 euros brut). Avec le Pôle Emploi pour « employeur ».« C'est vrai qu'on peut se demander si les Assedic ne sont pas le sponsor principal de certains clubs », note Gaël Arandiga, du syndicat de joueurs Provale. Qui poursuit : « Il faut réfléchir à une autre façon de structurer les clubs de fédérale, afin qu'ils ne proposent pas de chausse-trappe aux joueurs. Nous y travaillons avec la Fédération ». Pourquoi ne pas créer un échelon semi-pro, équivalent du National en football ? « Ce n'est pas une bonne idée, répond Gaël Arandiga. On ne peut pas obliger des clubs de fédérale à prendre 30 contrats pros alors que la Pro D2 n'est pas stabilisée financièrement ! »
Avec la contribution de plusieurs clubs, Saint-Nazaire devrait faire des propositions d'emploi à tous ces joueurs. Il paraît que les chômeurs ne peuvent pas refuser plus de 3 propositions d'emploi !
#72
Ou alors, une vraie solution : Interdire a tous les chômeurs de prendre une licence : faudra enfin choisir entre être licencié et être licencié!!! Non mais!!!
#73
Nice/Sainté, au Stade vélodrome....moi je dit que ça aurais de la gueule....(Autant que Case/Béziers à GG)
N'emphêche, voir mon club qui il y à 10 ans encore était en 1ère série du lyonnais accéder au barrage du J.Prat...hier soir j'étais très ému devant mon ordi à la lecture des résultats. J'espère que la réception de Massy va donner lieu à une belle fête...Merci à tous ceux qui font vivre notre sport sur ces terres hostiles......:D
#74
albator a écrit :
JABADAO a écrit :
Le problème le voici résumé dans ces quelques lignes parus dans le journal le sud-ouest, je pense que plusieurs joueurs à St Etienne rentrent dans ce cas de figure, pour l'instant c'est encore légal même si la fédé se penche sur la question car effectivement c'est dégueulasse mais tant mieux pour vous si vous pouvez en profiter pour le moment (tu vois je n'ai pas changer de discours) :
« Les clubs Assedic »La FFR, qui s'est penchée sur le dossier, a rédigé une convention collective pour doter d'un statut les joueurs de Fédérale 1. Or on peut estimer à 20 % la proportion des rugbymen de la division qui disposent d'un contrat de ce type. Les autres ? Tous amateurs, en théorie. Dans la pratique, ce n'est pas toujours vrai. Divers montages financiers (« dont certains, selon un acteur du rugby, doivent être ''border line'' par rapport à l'Urssaf ») permettent de rémunérer des joueurs qui ne sont pas pluri-actifs. Des solutions le plus souvent légales, mais pas forcément pérennes.« J'ai vu par exemple des joueurs qui ont préféré rester au chômage plutôt que prendre un contrat chez nous », raconte Michel Macary à Périgueux. Avec un plafond chômage à 5 700 euros net et quelques frais de déplacement bien sentis, un joueur sortant de Pro D2 peut toucher plus de 7 000 euros par mois pour évoluer en Fédérale 1 (alors que le salaire moyen en Pro D2 est de 5 500 euros brut). Avec le Pôle Emploi pour « employeur ».« C'est vrai qu'on peut se demander si les Assedic ne sont pas le sponsor principal de certains clubs », note Gaël Arandiga, du syndicat de joueurs Provale. Qui poursuit : « Il faut réfléchir à une autre façon de structurer les clubs de fédérale, afin qu'ils ne proposent pas de chausse-trappe aux joueurs. Nous y travaillons avec la Fédération ». Pourquoi ne pas créer un échelon semi-pro, équivalent du National en football ? « Ce n'est pas une bonne idée, répond Gaël Arandiga. On ne peut pas obliger des clubs de fédérale à prendre 30 contrats pros alors que la Pro D2 n'est pas stabilisée financièrement ! »
Avec la contribution de plusieurs clubs, Saint-Nazaire devrait faire des propositions d'emploi à tous ces joueurs. Il paraît que les chômeurs ne peuvent pas refuser plus de 3 propositions d'emploi !
exemple , tu joues 9 10 ou 15 , ça s'appelle la polyvalence face au référentiel bondissant dans une situation optionnelle .................................!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
#75
JABADAO a écrit :
Le problème le voici résumé dans ces quelques lignes parus dans le journal le sud-ouest, je pense que plusieurs joueurs à St Etienne rentrent dans ce cas de figure, pour l'instant c'est encore légal même si la fédé se penche sur la question car effectivement c'est dégueulasse mais tant mieux pour vous si vous pouvez en profiter pour le moment (tu vois je n'ai pas changer de discours) :
« Les clubs Assedic »La FFR, qui s'est penchée sur le dossier, a rédigé une convention collective pour doter d'un statut les joueurs de Fédérale 1. Or on peut estimer à 20 % la proportion des rugbymen de la division qui disposent d'un contrat de ce type. Les autres ? Tous amateurs, en théorie. Dans la pratique, ce n'est pas toujours vrai. Divers montages financiers (« dont certains, selon un acteur du rugby, doivent être ''border line'' par rapport à l'Urssaf ») permettent de rémunérer des joueurs qui ne sont pas pluri-actifs. Des solutions le plus souvent légales, mais pas forcément pérennes.« J'ai vu par exemple des joueurs qui ont préféré rester au chômage plutôt que prendre un contrat chez nous », raconte Michel Macary à Périgueux. Avec un plafond chômage à 5 700 euros net et quelques frais de déplacement bien sentis, un joueur sortant de Pro D2 peut toucher plus de 7 000 euros par mois pour évoluer en Fédérale 1 (alors que le salaire moyen en Pro D2 est de 5 500 euros brut). Avec le Pôle Emploi pour « employeur ».« C'est vrai qu'on peut se demander si les Assedic ne sont pas le sponsor principal de certains clubs », note Gaël Arandiga, du syndicat de joueurs Provale. Qui poursuit : « Il faut réfléchir à une autre façon de structurer les clubs de fédérale, afin qu'ils ne proposent pas de chausse-trappe aux joueurs. Nous y travaillons avec la Fédération ». Pourquoi ne pas créer un échelon semi-pro, équivalent du National en football ? « Ce n'est pas une bonne idée, répond Gaël Arandiga. On ne peut pas obliger des clubs de fédérale à prendre 30 contrats pros alors que la Pro D2 n'est pas stabilisée financièrement ! »
Dis moi, tu parles de Sainté, et à Saint Nazaire ça se passe comment ?
#76
olivier a écrit :
JABADAO a écrit :
Le problème le voici résumé dans ces quelques lignes parus dans le journal le sud-ouest, je pense que plusieurs joueurs à St Etienne rentrent dans ce cas de figure, pour l'instant c'est encore légal même si la fédé se penche sur la question car effectivement c'est dégueulasse mais tant mieux pour vous si vous pouvez en profiter pour le moment (tu vois je n'ai pas changer de discours) :
« Les clubs Assedic »La FFR, qui s'est penchée sur le dossier, a rédigé une convention collective pour doter d'un statut les joueurs de Fédérale 1. Or on peut estimer à 20 % la proportion des rugbymen de la division qui disposent d'un contrat de ce type. Les autres ? Tous amateurs, en théorie. Dans la pratique, ce n'est pas toujours vrai. Divers montages financiers (« dont certains, selon un acteur du rugby, doivent être ''border line'' par rapport à l'Urssaf ») permettent de rémunérer des joueurs qui ne sont pas pluri-actifs. Des solutions le plus souvent légales, mais pas forcément pérennes.« J'ai vu par exemple des joueurs qui ont préféré rester au chômage plutôt que prendre un contrat chez nous », raconte Michel Macary à Périgueux. Avec un plafond chômage à 5 700 euros net et quelques frais de déplacement bien sentis, un joueur sortant de Pro D2 peut toucher plus de 7 000 euros par mois pour évoluer en Fédérale 1 (alors que le salaire moyen en Pro D2 est de 5 500 euros brut). Avec le Pôle Emploi pour « employeur ».« C'est vrai qu'on peut se demander si les Assedic ne sont pas le sponsor principal de certains clubs », note Gaël Arandiga, du syndicat de joueurs Provale. Qui poursuit : « Il faut réfléchir à une autre façon de structurer les clubs de fédérale, afin qu'ils ne proposent pas de chausse-trappe aux joueurs. Nous y travaillons avec la Fédération ». Pourquoi ne pas créer un échelon semi-pro, équivalent du National en football ? « Ce n'est pas une bonne idée, répond Gaël Arandiga. On ne peut pas obliger des clubs de fédérale à prendre 30 contrats pros alors que la Pro D2 n'est pas stabilisée financièrement ! »
Dis moi, tu parles de Sainté, et à Saint Nazaire ça se passe comment ?
ils bossent tous aux chantiers navals ........................c'est pour ça que ça baigne!!!!!!!!!!!!!!!!!!
#77
albator a écrit :
JABADAO a écrit :
Le problème le voici résumé dans ces quelques lignes parus dans le journal le sud-ouest, je pense que plusieurs joueurs à St Etienne rentrent dans ce cas de figure, pour l'instant c'est encore légal même si la fédé se penche sur la question car effectivement c'est dégueulasse mais tant mieux pour vous si vous pouvez en profiter pour le moment (tu vois je n'ai pas changer de discours) :
« Les clubs Assedic »La FFR, qui s'est penchée sur le dossier, a rédigé une convention collective pour doter d'un statut les joueurs de Fédérale 1. Or on peut estimer à 20 % la proportion des rugbymen de la division qui disposent d'un contrat de ce type. Les autres ? Tous amateurs, en théorie. Dans la pratique, ce n'est pas toujours vrai. Divers montages financiers (« dont certains, selon un acteur du rugby, doivent être ''border line'' par rapport à l'Urssaf ») permettent de rémunérer des joueurs qui ne sont pas pluri-actifs. Des solutions le plus souvent légales, mais pas forcément pérennes.« J'ai vu par exemple des joueurs qui ont préféré rester au chômage plutôt que prendre un contrat chez nous », raconte Michel Macary à Périgueux. Avec un plafond chômage à 5 700 euros net et quelques frais de déplacement bien sentis, un joueur sortant de Pro D2 peut toucher plus de 7 000 euros par mois pour évoluer en Fédérale 1 (alors que le salaire moyen en Pro D2 est de 5 500 euros brut). Avec le Pôle Emploi pour « employeur ».« C'est vrai qu'on peut se demander si les Assedic ne sont pas le sponsor principal de certains clubs », note Gaël Arandiga, du syndicat de joueurs Provale. Qui poursuit : « Il faut réfléchir à une autre façon de structurer les clubs de fédérale, afin qu'ils ne proposent pas de chausse-trappe aux joueurs. Nous y travaillons avec la Fédération ». Pourquoi ne pas créer un échelon semi-pro, équivalent du National en football ? « Ce n'est pas une bonne idée, répond Gaël Arandiga. On ne peut pas obliger des clubs de fédérale à prendre 30 contrats pros alors que la Pro D2 n'est pas stabilisée financièrement ! »
Avec la contribution de plusieurs clubs, Saint-Nazaire devrait faire des propositions d'emploi à tous ces joueurs. Il paraît que les chômeurs ne peuvent pas refuser plus de 3 propositions d'emploi !
Ils n'auraient certainement pas de quoi payer les salaires demandés, il faut être lucide !!!!!
#78
A St Nazaire, il ne reste plus que 2 pros, les autres ont soit des contrats plus ou moins important, et le club leur a trouvé du taf + un logement si besoin. Sur la pelouse hier de nombreux joueurs n'avait pas de contrat du tout et ont juste des petites primes de match. En fait rien d'extraordinaire et surtout pas de contrat "assedic" !
#79
Si le le Case est obligé d'utiliser ce genre d'expédients, c'est que contrairement à la légende on ne roule pas sur l'or ( à peine 700 000 € de budget).
Je sens de l'aigreur dans tes propos. QUOI!!! Ces parvenus stéphanois, arrivent à se qualifier alors qu'ils sont promus (et mal promus en plus parce qu'il ont bénéficié du refus de monter d'un autre club de F2). Mais que font ils là, qu'ils restent au football...Désolé de gêner, et de briser tes rêves, mais laisse nous vivre les nôtres....Et surtout n'oublie pas que notre club est en mission: faire partager notre sport aux ignares mal élèvés qui ne jurent que par le football...
#80
renardsubtil a écrit :
Si le le Case est obligé d'utiliser ce genre d'expédients, c'est que contrairement à la légende on ne roule pas sur l'or ( à peine 700 000 € de budget).
Je sens de l'aigreur dans tes propos. QUOI!!! Ces parvenus stéphanois, arrivent à se qualifier alors qu'ils sont promus (et mal promus en plus parce qu'il ont bénéficié du refus de monter d'un autre club de F2). Mais que font ils là, qu'ils restent au football...Désolé de gêner, et de briser tes rêves, mais laisse nous vivre les nôtres....Et surtout n'oublie pas que notre club est en mission: faire partager notre sport aux ignares mal élèvés qui ne jurent que par le football...
C'est une bonne chose effectivement, maitenant c'est vrai aussi que le match aller à St Etienne a ruiné nos espoirs pour cette fin de saison et qu'il y a peut-être par le fait un peu d'agacement de ma part ! Fin de l'échange, je vous souhaite supporters, joueurs, dirigeants du CASE une excellente fin de saison, bon vent, kenat'chao les gars !
#81
JABADAO a écrit :
renardsubtil a écrit :
Si le le Case est obligé d'utiliser ce genre d'expédients, c'est que contrairement à la légende on ne roule pas sur l'or ( à peine 700 000 € de budget).
Je sens de l'aigreur dans tes propos. QUOI!!! Ces parvenus stéphanois, arrivent à se qualifier alors qu'ils sont promus (et mal promus en plus parce qu'il ont bénéficié du refus de monter d'un autre club de F2). Mais que font ils là, qu'ils restent au football...Désolé de gêner, et de briser tes rêves, mais laisse nous vivre les nôtres....Et surtout n'oublie pas que notre club est en mission: faire partager notre sport aux ignares mal élèvés qui ne jurent que par le football...
C'est une bonne chose effectivement, maitenant c'est vrai aussi que le match aller à St Etienne a ruiné nos espoirs pour cette fin de saison et qu'il y a peut-être par le fait un peu d'agacement de ma part ! Fin de l'échange, je vous souhaite supporters, joueurs, dirigeants du CASE une excellente fin de saison, bon vent, kenat'chao les gars !