Fédérale 2

Uso Nevers-Suresnes à Montargis, vos pronostics!!!

#169

gomez a écrit :

je regrette de finir la saison de cette manière...Félicitations a Suresnes mais ne vous eparpillez pas trop le public neversois est un bon public et respectueux.Nous esperons ne pas prendre 30pt tous les dimanches comme vous le dites...Pour ma part je pense que les arbitres de touches ont largement contribué a ce match etrange c'est l'avis aussi de quelques Suresnois.Bonne chance pour la fin de saison et peut etre a l'année prochaine.

loin de la si vous savez vous maitrisez vous ne prendrez pas 30 points.... je que je vois dire c'est quand f1 tu te prends un carton c'est pratiquement 7 points pour l'équipe adverse .... votre équipe est pleine de talent ca se sent mais à mon sens attention le risque est que si vous recrutez comme vous le faites avec le risque de creer des tensions : j'ai cru lire que votre n°9 était votre meilleur élément alors pourquoi recruter marfaing.... Bonne chance et peut etre à l'année prochaine si vous tomber contre le rCO

#170

thierry a écrit :

Suresnes est décidément la bête noire de l'USON, de nouveau éliminée en huitième de finale par les Franciliens. Si l'essentiel est acquis avec la montée en Fédérale 1, la frustration est grande chez les Neversois. La saison de l'USON s'est arrêtée hier, à Vierzon. Pour la quatrième fois en deux ans, les Neversois ont échoué contre Suresnes, qui jouera l'accession en Fédérale 1, dimanche, contre Strasbourg. C'est ce que l'on retiendra de ce match. Mais, il y a aussi beaucoup à dire sur tout ce qui s'est passé sur la pelouse du stade Constant-Duval? Faire porter la responsabilité de l'élimination des Usonistes au seul trio arbitral serait exagéré. Constater que le directeur de jeu a manqué de discernement est une évidence. Il est vrai que M. Goborit n'a pas été aidé par ses assistants, et particulièrement par l'un d'eux, qui est le seul à ne pas avoir vu (entre autres choses) Arthur Lozet régler ses comptes à coups de poing et sous son nez (37e'). Le centre suresnois ne fut pas sanctionné, au contraire de Haouari, écopant de son premier jaune quelques minutes plus tôt (35e'). Deux poids, deux mesures? La pénalité consécutive à la faute du Neversois permit à Bories de ramener Suresnes dans la partie (11-6, 35e'), alors que l'USON avait pris l'ascendant. Si Caïssa avait ouvert le score sur une pénalité (0-3, 7e'), les Neversois, bien que contrés dans le combat au sol, concrétisaient leur domination sur deux pénalités de Berthelot (15e et 22e'). Et ils jouaient bien le coup sur une relance côté fermé de Smales, conclue par le seul essai de l'après-midi, signé Carne (11-3 25e'). Face à un adversaire très bien organisé défensivement et qui limita sa prise de risque au minimum, l'USON eut, peut-être, le tort de ne pas assez jouer debout. Mais la sortie sur blessure de Colonna (40e'), remplacé à l'ouverture par Bertro, dérégla son jeu. Et Bories ramena Surenes à deux longueurs sur pénalité (11-9, 42e'). Si la tension était palpable sur le terrain, rien ne laissait présager du scénario final? Après que Berthelot eut raté une pénalité de 40 m (61e'), Smales mettait le feu dans la défense francilienne. Avant de voir l'arbitre lui brandir le carton rouge sous le nez pour avoir, semble-t-il, marché sur le pied d'un Suresnois coupable d'antijeu dans une mêlée fermée (65e') ! De quatorze, l'USON se retrouvait ensuite à treize, après que Haouari eut été sanctionné d'un jaune tout aussi évitable que le premier (68e'). Bories permettait aux siens de passer devant (11-12, 68e'). Ulcéré par une nouvelle décision arbitrale, Jean-Baptiste Rué était à son tour exclu (77e'). Bories passait la pénalité sanctionnant ce rouge (15-11, 78e'). Et, à treize, les Neversois avaient le cran de faire douter les Suresnois. Mais sans en tirer bénéfice. Frustrant. Très frustrant. jean-michel Manquat, Journal du Centre

Bravo pour l'objectivité de ce journaliste:(, c'est ce qui s'appelle "instruire à charge" en termes juridiques. Artur Lozet en découdre! C'est tout à fait vraisemblable, si son adversaire ne s'est pas comporter en gentleman, donc si l'arbitre est resté muet, sans doute a-t-il vu l'origine du conflit et quand conséquence il n'y avait que justice. L'équipe de Suresnes n'est pas renommée pour son "jeu dur", bien au contraire, sa réputation est plutôt basée sur son jeu alerte et joyeux. Maintenant, que le journaliste minimise le fait de "marcher sur un joueur", cela relève de l'inconscience, le rugby comporte suffisamment de secteur pour imposer son physique sans avoir recours à la brutalité grossière. Enfin, bravo à Suresnes et ses "jumeaux" que je félicite chaleureusement.;):D

Ne te hâte pas, ne te torture pas l'esprit, tu n'es ici-bas que pour une courte visite. N'oublie pas de t'arrêter pour respirer les fleurs.

Walter Hagen  ( 1982 - 1962 )

#171

thierry a écrit :

Suresnes est décidément la bête noire de l'USON, de nouveau éliminée en huitième de finale par les Franciliens. Si l'essentiel est acquis avec la montée en Fédérale 1, la frustration est grande chez les Neversois. La saison de l'USON s'est arrêtée hier, à Vierzon. Pour la quatrième fois en deux ans, les Neversois ont échoué contre Suresnes, qui jouera l'accession en Fédérale 1, dimanche, contre Strasbourg. C'est ce que l'on retiendra de ce match. Mais, il y a aussi beaucoup à dire sur tout ce qui s'est passé sur la pelouse du stade Constant-Duval? Faire porter la responsabilité de l'élimination des Usonistes au seul trio arbitral serait exagéré. Constater que le directeur de jeu a manqué de discernement est une évidence. Il est vrai que M. Goborit n'a pas été aidé par ses assistants, et particulièrement par l'un d'eux, qui est le seul à ne pas avoir vu (entre autres choses) Arthur Lozet régler ses comptes à coups de poing et sous son nez (37e'). Le centre suresnois ne fut pas sanctionné, au contraire de Haouari, écopant de son premier jaune quelques minutes plus tôt (35e'). Deux poids, deux mesures? La pénalité consécutive à la faute du Neversois permit à Bories de ramener Suresnes dans la partie (11-6, 35e'), alors que l'USON avait pris l'ascendant. Si Caïssa avait ouvert le score sur une pénalité (0-3, 7e'), les Neversois, bien que contrés dans le combat au sol, concrétisaient leur domination sur deux pénalités de Berthelot (15e et 22e'). Et ils jouaient bien le coup sur une relance côté fermé de Smales, conclue par le seul essai de l'après-midi, signé Carne (11-3 25e'). Face à un adversaire très bien organisé défensivement et qui limita sa prise de risque au minimum, l'USON eut, peut-être, le tort de ne pas assez jouer debout. Mais la sortie sur blessure de Colonna (40e'), remplacé à l'ouverture par Bertro, dérégla son jeu. Et Bories ramena Surenes à deux longueurs sur pénalité (11-9, 42e'). Si la tension était palpable sur le terrain, rien ne laissait présager du scénario final? Après que Berthelot eut raté une pénalité de 40 m (61e'), Smales mettait le feu dans la défense francilienne. Avant de voir l'arbitre lui brandir le carton rouge sous le nez pour avoir, semble-t-il, marché sur le pied d'un Suresnois coupable d'antijeu dans une mêlée fermée (65e') ! De quatorze, l'USON se retrouvait ensuite à treize, après que Haouari eut été sanctionné d'un jaune tout aussi évitable que le premier (68e'). Bories permettait aux siens de passer devant (11-12, 68e'). Ulcéré par une nouvelle décision arbitrale, Jean-Baptiste Rué était à son tour exclu (77e'). Bories passait la pénalité sanctionnant ce rouge (15-11, 78e'). Et, à treize, les Neversois avaient le cran de faire douter les Suresnois. Mais sans en tirer bénéfice. Frustrant. Très frustrant. jean-michel Manquat, Journal du Centre

Très objectif comme article mais peut-être a t il oublié le nom du talon, 4 et ailier de nevers le bougre !!!

#172

astalavista a écrit :
thierry a écrit :

Suresnes est décidément la bête noire de l'USON, de nouveau éliminée en huitième de finale par les Franciliens. Si l'essentiel est acquis avec la montée en Fédérale 1, la frustration est grande chez les Neversois. La saison de l'USON s'est arrêtée hier, à Vierzon. Pour la quatrième fois en deux ans, les Neversois ont échoué contre Suresnes, qui jouera l'accession en Fédérale 1, dimanche, contre Strasbourg. C'est ce que l'on retiendra de ce match. Mais, il y a aussi beaucoup à dire sur tout ce qui s'est passé sur la pelouse du stade Constant-Duval? Faire porter la responsabilité de l'élimination des Usonistes au seul trio arbitral serait exagéré. Constater que le directeur de jeu a manqué de discernement est une évidence. Il est vrai que M. Goborit n'a pas été aidé par ses assistants, et particulièrement par l'un d'eux, qui est le seul à ne pas avoir vu (entre autres choses) Arthur Lozet régler ses comptes à coups de poing et sous son nez (37e'). Le centre suresnois ne fut pas sanctionné, au contraire de Haouari, écopant de son premier jaune quelques minutes plus tôt (35e'). Deux poids, deux mesures? La pénalité consécutive à la faute du Neversois permit à Bories de ramener Suresnes dans la partie (11-6, 35e'), alors que l'USON avait pris l'ascendant. Si Caïssa avait ouvert le score sur une pénalité (0-3, 7e'), les Neversois, bien que contrés dans le combat au sol, concrétisaient leur domination sur deux pénalités de Berthelot (15e et 22e'). Et ils jouaient bien le coup sur une relance côté fermé de Smales, conclue par le seul essai de l'après-midi, signé Carne (11-3 25e'). Face à un adversaire très bien organisé défensivement et qui limita sa prise de risque au minimum, l'USON eut, peut-être, le tort de ne pas assez jouer debout. Mais la sortie sur blessure de Colonna (40e'), remplacé à l'ouverture par Bertro, dérégla son jeu. Et Bories ramena Surenes à deux longueurs sur pénalité (11-9, 42e'). Si la tension était palpable sur le terrain, rien ne laissait présager du scénario final? Après que Berthelot eut raté une pénalité de 40 m (61e'), Smales mettait le feu dans la défense francilienne. Avant de voir l'arbitre lui brandir le carton rouge sous le nez pour avoir, semble-t-il, marché sur le pied d'un Suresnois coupable d'antijeu dans une mêlée fermée (65e') ! De quatorze, l'USON se retrouvait ensuite à treize, après que Haouari eut été sanctionné d'un jaune tout aussi évitable que le premier (68e'). Bories permettait aux siens de passer devant (11-12, 68e'). Ulcéré par une nouvelle décision arbitrale, Jean-Baptiste Rué était à son tour exclu (77e'). Bories passait la pénalité sanctionnant ce rouge (15-11, 78e'). Et, à treize, les Neversois avaient le cran de faire douter les Suresnois. Mais sans en tirer bénéfice. Frustrant. Très frustrant. jean-michel Manquat, Journal du Centre

Bravo pour l'objectivité de ce journaliste:(, c'est ce qui s'appelle "instruire à charge" en termes juridiques. Artur Lozet en découdre! C'est tout à fait vraisemblable, si son adversaire ne s'est pas comporter en gentleman, donc si l'arbitre est resté muet, sans doute a-t-il vu l'origine du conflit et quand conséquence il n'y avait que justice. L'équipe de Suresnes n'est pas renommée pour son "jeu dur", bien au contraire, sa réputation est plutôt basée sur son jeu alerte et joyeux. Maintenant, que le journaliste minimise le fait de "marcher sur un joueur", cela relève de l'inconscience, le rugby comporte suffisamment de secteur pour imposer son physique sans avoir recours à la brutalité grossière. Enfin, bravo à Suresnes et ses "jumeaux" que je félicite chaleureusement.;):D

Merci !!!!

#173

Ca y est, tu es célèbre Groramdam !!!

#174

que c est il passé a la fin du match?

ce soir je trinque pour chantal niaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

#175

rien qui vaille qu'on en parle!

ALLEZ LES PETITS BLEUS ET BLANCS!!!!!

#176

Suis d'accord

#177

Des imbecilitées !!!!

;=)

#178

Tu peux parler toi, t'es pas blanc bleu !!!

#179

supporterRCO a écrit :

votre équipe est pleine de talent ca se sent mais à mon sens attention le risque est que si vous recrutez comme vous le faites avec le risque de creer des tensions : j'ai cru lire que votre n°9 était votre meilleur élément alors pourquoi recruter marfaing.... Bonne chance et peut etre à l'année prochaine si vous tomber contre le rCO

lequel? S'il s'agit de Jack Smales il peut aussi bien jouer en 11, en 14 ou en 15 qu'en 9. Quand à Sandile Nxumlo, il a été opéré et sera out pour le début de saison.

#180

Groramdam a écrit :

C'est quand même dingue que des joueurs professionnels craquent comme ça, le public j'en parle même pas... Je trouve que ce club de Nevers est un bon laboratoire pour voire les dérives que peuvent engendrer des sommes d'argent démentielles dans le rugby qui au vu de la démonstration d'hier prends la même direction que le foot. Mais bon, c'est comme le rauchauffement climatique, tout le monde prévient qu'on va bientôt être dans la merde mais rien ne bouge....

"réchauffement", tu voulais dire?!...;)

"Txapela buruan eta ibili munduan."

#181

cabanes a écrit :
Groramdam a écrit :

C'est quand même dingue que des joueurs professionnels craquent comme ça, le public j'en parle même pas... Je trouve que ce club de Nevers est un bon laboratoire pour voire les dérives que peuvent engendrer des sommes d'argent démentielles dans le rugby qui au vu de la démonstration d'hier prends la même direction que le foot. Mais bon, c'est comme le rauchauffement climatique, tout le monde prévient qu'on va bientôt être dans la merde mais rien ne bouge....

"réchauffement", tu voulais dire?!...;)

Oui pardon, je me suis laissé emporter big_smile

#182

astalavista a écrit :
thierry a écrit :

Suresnes est décidément la bête noire de l'USON, de nouveau éliminée en huitième de finale par les Franciliens. Si l'essentiel est acquis avec la montée en Fédérale 1, la frustration est grande chez les Neversois. La saison de l'USON s'est arrêtée hier, à Vierzon. Pour la quatrième fois en deux ans, les Neversois ont échoué contre Suresnes, qui jouera l'accession en Fédérale 1, dimanche, contre Strasbourg. C'est ce que l'on retiendra de ce match. Mais, il y a aussi beaucoup à dire sur tout ce qui s'est passé sur la pelouse du stade Constant-Duval? Faire porter la responsabilité de l'élimination des Usonistes au seul trio arbitral serait exagéré. Constater que le directeur de jeu a manqué de discernement est une évidence. Il est vrai que M. Goborit n'a pas été aidé par ses assistants, et particulièrement par l'un d'eux, qui est le seul à ne pas avoir vu (entre autres choses) Arthur Lozet régler ses comptes à coups de poing et sous son nez (37e'). Le centre suresnois ne fut pas sanctionné, au contraire de Haouari, écopant de son premier jaune quelques minutes plus tôt (35e'). Deux poids, deux mesures? La pénalité consécutive à la faute du Neversois permit à Bories de ramener Suresnes dans la partie (11-6, 35e'), alors que l'USON avait pris l'ascendant. Si Caïssa avait ouvert le score sur une pénalité (0-3, 7e'), les Neversois, bien que contrés dans le combat au sol, concrétisaient leur domination sur deux pénalités de Berthelot (15e et 22e'). Et ils jouaient bien le coup sur une relance côté fermé de Smales, conclue par le seul essai de l'après-midi, signé Carne (11-3 25e'). Face à un adversaire très bien organisé défensivement et qui limita sa prise de risque au minimum, l'USON eut, peut-être, le tort de ne pas assez jouer debout. Mais la sortie sur blessure de Colonna (40e'), remplacé à l'ouverture par Bertro, dérégla son jeu. Et Bories ramena Surenes à deux longueurs sur pénalité (11-9, 42e'). Si la tension était palpable sur le terrain, rien ne laissait présager du scénario final? Après que Berthelot eut raté une pénalité de 40 m (61e'), Smales mettait le feu dans la défense francilienne. Avant de voir l'arbitre lui brandir le carton rouge sous le nez pour avoir, semble-t-il, marché sur le pied d'un Suresnois coupable d'antijeu dans une mêlée fermée (65e') ! De quatorze, l'USON se retrouvait ensuite à treize, après que Haouari eut été sanctionné d'un jaune tout aussi évitable que le premier (68e'). Bories permettait aux siens de passer devant (11-12, 68e'). Ulcéré par une nouvelle décision arbitrale, Jean-Baptiste Rué était à son tour exclu (77e'). Bories passait la pénalité sanctionnant ce rouge (15-11, 78e'). Et, à treize, les Neversois avaient le cran de faire douter les Suresnois. Mais sans en tirer bénéfice. Frustrant. Très frustrant. jean-michel Manquat, Journal du Centre

Bravo pour l'objectivité de ce journaliste:(, c'est ce qui s'appelle "instruire à charge" en termes juridiques. Artur Lozet en découdre! C'est tout à fait vraisemblable, si son adversaire ne s'est pas comporter en gentleman, donc si l'arbitre est resté muet, sans doute a-t-il vu l'origine du conflit et quand conséquence il n'y avait que justice. L'équipe de Suresnes n'est pas renommée pour son "jeu dur", bien au contraire, sa réputation est plutôt basée sur son jeu alerte et joyeux. Maintenant, que le journaliste minimise le fait de "marcher sur un joueur", cela relève de l'inconscience, le rugby comporte suffisamment de secteur pour imposer son physique sans avoir recours à la brutalité grossière. Enfin, bravo à Suresnes et ses "jumeaux" que je félicite chaleureusement.;):D

Merci JP !!

pète un coup ça ira mieux

Fédérale 2