Bravo Chato vous avez une belle équipe!!!

saucliere a écrit :

Bravo Chato vous avez une belle équipe!!!

Tes félicitations nous touchent car si Béziers n a pu renverser la vapeur c est aussi parce qu en face on a fait un gros match , on est pas des "peintres".C est toujours trop réducteur de dire que Chato a gagné parce que Béziers n a pas joué..!!Beziers a joué , il y a eu de l intensité , par moment ça allait trés vite , c était presque du PROD2 .J ai meme eu peur que l on joue au-dela de notre viveau , que l on se grise... Bravo à Chato qui ne le doit a personne , et bonne route à Béziers , a qui l on souhaite de tout coeur de retrouver sa place dans l élite..

starki a écrit :

USRPoise a écrit :

J'espère que Béziers ne jouera pas avec + d'envie samedi prochain contre nous ! Comme ça on aura une chance de les battre devant une foule record ! Allez Romans !

J'ai vu jouer Roman contre Chato il y a 3 semaines, et Sans faire offense à ROMAN je pense que BEZIER s'imposera facilement si ils jouent avec la même intensité qu'hier. C'etait un macth de haut-niveau messieurs..

oui mais Béziers était aux abonnés absents pour le second week end. on commence à se poser des questions chez nous....

Résumé de la journée d'hier:

Regard Ovale Châteaurenard l'emporte au courage et à l'envie (27 à 9) Le regard de Christian BRUALLA sur l'actualité du rugby Fête populaire. Châteaurenard dimanche en début d'après midi. Les parkings du stade Pierre de Coubertin sont pleins. Les tribunes aussi. Plus de 2000 personnes se pressent pour assister à l'affiche de la saison . C'était le titre du journal local. On y dit entre autres que le RCC est passé tout prés de la victoire à Saint Etienne alors que les biterrois s'y sont inclinés. Ce qui en terme de résultat comptable n'apporte rien de plus mais qui est symptomatique de l'état d'esprit ambiant. La ferveur populaire aidant, Chââteaurenard se voit pousser des ailes. Mettre Béziers à son tableau de chasse rentre dans le domaine du possible et il y aura certainement un bon coup à jouer. Une intime conviction qui est le lot de ceux qui vivent intensément leur passion et qui croient en leur étoile. De la parole aux actes. L'ambiance qui règne dés le match d'ouverture sera là pour le rappeler. Tout est correct, viril, engagé, mais 'Chato' s'emploie pour s'imposer à domicile. Et c'est en toute logique que la Nationale B de l'ASBH s'incline face à son rival direct pour la première place de la poule sur le score de 12 à 0. Le temps d'un intermède sympathique entre les moins de onze ans des deux clubs et l'on revient à l'essentiel du programme de la journée. Le public est chaud bouillant, les joueurs aussi. Ils vont entretenir la passion de leurs supporters venus en masse avec les yeux de Chimène en affichant dès les premières minutes une déétermination à base de fortes doses de testostérone et de caractère guerrier au moment d'aborder le secteur de la conquête et de la défense en y rajoutant les vertus de l'abnégation. 'Chato' souhaitait s'installer dans son match dès les premières minutes et va passer à l'acte face à une équipe de l'ASBH qui affiche des convictions moins marquées. Vrai aussi que les biterrois, le moment venu de composer l'équipe ont du s'accommoder des absences de Petre et Malaguradze (sélections nationales), Tesquet (qui reprend juste le rugby) au même titre que Pardo (absent depuis le début de la saison), ou encore Lequeux (blessé), Gargallo (ménagé suite à une béquille et pas tout a fait guéri) ou Bousquet (aligné malgré son coup douloureux sur l'os iliaque). Quant à Lucas Pointud, il n'est pas encore passé en commission de discipline après son carton rouge de St Etienne. Une énumération qui pourrait laisser croire que l'ASBH a finalement de bonnes excuses à faire valoir. Un manque de saine agressivité. Sauf que….les maux qui sont à l'origine de l'échec de Saint Etienne la semaine avant ont été reproduits à l'identique en provence. Un phénomène qui s'en est trouvé amplifié dès la 6e minute suite à l'essai de l'ouvreur Jeffrey Perkins venu à hauteur suite à une valise du 3e ligne Trebalague sur touche jouée sur les 22 mètres entre deux blocs façon Terry Bouharoua à Bédarrides pour porter le score à 7 à 3, répondant de la meilleure des façons à l'ouverture du score de Jean-Baptiste Dambielle (3e). Les provençaux trouvent là leur récompense et de bonnes raisons de continuer à enfoncer le clou tel que l'avait proposé leur coach Arnaud Vercruysse à l'heure des consignes. Chato surfe sur la vague du bonheur et fait la course en tête avec les pénalités réussies aux 21e, 28e et 31e par Jeffrey Perkins, grand bonhomme du match qui porte le score à la pause à 16-9. Autant de bonnes raisons qui permettent d'envisager de remettre le couvert en deuxième période. Sans réactions dignes de ce nom, les biterrois n'arriveront pas à conclure. Ils redonnent même des ballons gagnés en conquête faute de conviction suffisante au moment de les utiliser ou encore par manque d'un minimum de rythme qui aurait pu déstabiliser la défense adverse. De plus, revenir dans un match quand on est passé à côté dès l'entame n'est pas chose facile et aucun joueur n'affichera suffisamment de tempérament pour inverser la tendance. Béziers va devoir redescendre sur terre. Le rugby est un sport de combat et d'humilité. Chaque fois que Béziers se déplace, c'est la fête au village. Affluence record aux repas d'avant match, stades pleins, buvettes surpeuplées avec en prime pour les dirigeants locaux le moyen idéal de s'offrir une belle tranche de relation publique. Les amateurs de rugby qui se pressent au stade viennent voir Béziers, le club le plus titré de l'après guerre avec ses onze boucliers, toucher de prés ce qu'est une légende du rugby et tout ce qu'elle représente. Pour cela et pour que l'effet perdure, encore faudra-t'il que les joueurs de Diego Minarro et Jeff Beltran s'imprègne du comportement qui correspond à la hauteur du standing qu'on leur prête. St Etienne et Châteaurenard ont maintenant fait la démonstration que Béziers était prenable. Ce qui laisse entrevoir un déplacement à Romans particulièrement musclé. Il est vital de repasser par les fondamentaux, un mot souvent galvaudé. Les coachs biterrois voulaient faire de cette phase qualificative un laboratoire. Ces deux revers successifs risquent d'inciter à plus de réalisme dans un délai très bref, les travaux de recherche étant suspendu momentanément. Quoi qu'il arrive, une réaction rapide s'impose pour ne pas casser le jouet qui fait tant rêver des biterrois qui se délectent de mêlées ou de groupés qui avancent grâce à la volonté de tous.

ENCORE BRAVO

Merci "Sauclière", ça nous fait plaisir de lire ça et nous accueillons ton "bravo" avec beaucoup de fierté. Toutefois, sachez supporters biterrois, que les supporters chateaurenardais seront vos 1ers supporters lors du sprint final pour la remontée en D2. Nous sommes contents aujourd'hui mais serons encore plus contents si nous accédons au jean prat et si beziers remonte en D2. Allez chato et allez beziers. Notre hitoire est étroitement liée à la votre car beaucoup de joueurs biterrois ont également revetu la tunique chateaurenardaise.

saucliere a écrit :

Résumé de la journée d'hier:

Regard Ovale Châteaurenard l'emporte au courage et à l'envie (27 à 9) Le regard de Christian BRUALLA sur l'actualité du rugby Fête populaire. Châteaurenard dimanche en début d'après midi. Les parkings du stade Pierre de Coubertin sont pleins. Les tribunes aussi. Plus de 2000 personnes se pressent pour assister à l'affiche de la saison . C'était le titre du journal local. On y dit entre autres que le RCC est passé tout prés de la victoire à Saint Etienne alors que les biterrois s'y sont inclinés. Ce qui en terme de résultat comptable n'apporte rien de plus mais qui est symptomatique de l'état d'esprit ambiant. La ferveur populaire aidant, Chââteaurenard se voit pousser des ailes. Mettre Béziers à son tableau de chasse rentre dans le domaine du possible et il y aura certainement un bon coup à jouer. Une intime conviction qui est le lot de ceux qui vivent intensément leur passion et qui croient en leur étoile. De la parole aux actes. L'ambiance qui règne dés le match d'ouverture sera là pour le rappeler. Tout est correct, viril, engagé, mais 'Chato' s'emploie pour s'imposer à domicile. Et c'est en toute logique que la Nationale B de l'ASBH s'incline face à son rival direct pour la première place de la poule sur le score de 12 à 0. Le temps d'un intermède sympathique entre les moins de onze ans des deux clubs et l'on revient à l'essentiel du programme de la journée. Le public est chaud bouillant, les joueurs aussi. Ils vont entretenir la passion de leurs supporters venus en masse avec les yeux de Chimène en affichant dès les premières minutes une déétermination à base de fortes doses de testostérone et de caractère guerrier au moment d'aborder le secteur de la conquête et de la défense en y rajoutant les vertus de l'abnégation. 'Chato' souhaitait s'installer dans son match dès les premières minutes et va passer à l'acte face à une équipe de l'ASBH qui affiche des convictions moins marquées. Vrai aussi que les biterrois, le moment venu de composer l'équipe ont du s'accommoder des absences de Petre et Malaguradze (sélections nationales), Tesquet (qui reprend juste le rugby) au même titre que Pardo (absent depuis le début de la saison), ou encore Lequeux (blessé), Gargallo (ménagé suite à une béquille et pas tout a fait guéri) ou Bousquet (aligné malgré son coup douloureux sur l'os iliaque). Quant à Lucas Pointud, il n'est pas encore passé en commission de discipline après son carton rouge de St Etienne. Une énumération qui pourrait laisser croire que l'ASBH a finalement de bonnes excuses à faire valoir. Un manque de saine agressivité. Sauf que….les maux qui sont à l'origine de l'échec de Saint Etienne la semaine avant ont été reproduits à l'identique en provence. Un phénomène qui s'en est trouvé amplifié dès la 6e minute suite à l'essai de l'ouvreur Jeffrey Perkins venu à hauteur suite à une valise du 3e ligne Trebalague sur touche jouée sur les 22 mètres entre deux blocs façon Terry Bouharoua à Bédarrides pour porter le score à 7 à 3, répondant de la meilleure des façons à l'ouverture du score de Jean-Baptiste Dambielle (3e). Les provençaux trouvent là leur récompense et de bonnes raisons de continuer à enfoncer le clou tel que l'avait proposé leur coach Arnaud Vercruysse à l'heure des consignes. Chato surfe sur la vague du bonheur et fait la course en tête avec les pénalités réussies aux 21e, 28e et 31e par Jeffrey Perkins, grand bonhomme du match qui porte le score à la pause à 16-9. Autant de bonnes raisons qui permettent d'envisager de remettre le couvert en deuxième période. Sans réactions dignes de ce nom, les biterrois n'arriveront pas à conclure. Ils redonnent même des ballons gagnés en conquête faute de conviction suffisante au moment de les utiliser ou encore par manque d'un minimum de rythme qui aurait pu déstabiliser la défense adverse. De plus, revenir dans un match quand on est passé à côté dès l'entame n'est pas chose facile et aucun joueur n'affichera suffisamment de tempérament pour inverser la tendance. Béziers va devoir redescendre sur terre. Le rugby est un sport de combat et d'humilité. Chaque fois que Béziers se déplace, c'est la fête au village. Affluence record aux repas d'avant match, stades pleins, buvettes surpeuplées avec en prime pour les dirigeants locaux le moyen idéal de s'offrir une belle tranche de relation publique. Les amateurs de rugby qui se pressent au stade viennent voir Béziers, le club le plus titré de l'après guerre avec ses onze boucliers, toucher de prés ce qu'est une légende du rugby et tout ce qu'elle représente. Pour cela et pour que l'effet perdure, encore faudra-t'il que les joueurs de Diego Minarro et Jeff Beltran s'imprègne du comportement qui correspond à la hauteur du standing qu'on leur prête. St Etienne et Châteaurenard ont maintenant fait la démonstration que Béziers était prenable. Ce qui laisse entrevoir un déplacement à Romans particulièrement musclé. Il est vital de repasser par les fondamentaux, un mot souvent galvaudé. Les coachs biterrois voulaient faire de cette phase qualificative un laboratoire. Ces deux revers successifs risquent d'inciter à plus de réalisme dans un délai très bref, les travaux de recherche étant suspendu momentanément. Quoi qu'il arrive, une réaction rapide s'impose pour ne pas casser le jouet qui fait tant rêver des biterrois qui se délectent de mêlées ou de groupés qui avancent grâce à la volonté de tous.

ENCORE BRAVO

SAUCLIERE , ton résumé est un compte rendu quasi parfait de la journée d hier , ton impartialité t honore, et nous sommes touchés par la passion Chateaurenardaise que tu as si bien décrite ...Ici tu l as compris le rugby est plus qu un simple sport ..Et notre réception pleine de fougue , d envie , de race est le plus bel hommage que l on pouvait rendre à ce merveilleux club que nous aimons tous ici , qu est BEZIERS... Bonne chance et encore une fois merci pour ces mots...