3° mi-temps

RF, site d'information ?

#29

Finale Bourg/Bourgoin

olivier a écrit :

44-22, là où tout a commencé. La déception, la frustration, le passage de témoin. Le grand club de l’Ain sera Oyonnax, celui qui ira jouer avec les pros… Un rendez-vous manqué pour les violets comme beaucoup par la suite. Nous sommes en 2003. Cette année là, Bourgoin joue en top 16 et tape les plus grands. Bourg en Bresse se qualifiera pour les phases finales chaque année, jusqu’à la montée en pro D2 de 2008. Le club redescendra dés l’année suivante et recommencera à y croire en ratant souvent la dernière marche. Bourgoin sera sur le déclin, les exigences financières d’un rugby de plus en plus puissant entraînent une sélection naturel en éliminant les plus fragiles sur le compte en banque. Bourgoin a toujours été un club à l’aura sympathique. Formateur, petite ville, un stade qui vibre et une formation reconnue dans la France entière. Mais je ne peux pas vous parler de Bourgoin, je ne les côtoie que depuis cette année, car mon monde est celui du petit rugby, celui que l’on passe à la télé quand il n’y a rien d’autre, celui dont les supporteurs de clubs rétrogradés de pro D2 jugent avec peur et dédain parce que trop loin de leur rêve. Alors oui, je peux vous parler de Bourg en Bresse, des bressans, des violets de la CGT. Je peux vous compter des histoires, des rencontres, des engueulades. Les bressans et moi, c’est Hervé et son épouse qui m’accueillent un jour de 2005. J’arrive du Danemark pour rencontrer le président de Villefranche sur Saône qui veut que le concepteur de RF fasse le site de son club. C’est une grande fierté pour moi, quelqu’un reconnait mon travail. Hervé me compte alors l’histoire du club, la passion fusionnelle de son public, les dimanche de fêtes, les déceptions, la rivalité avec le voisin rouge et noir… Les bressans et moi, c’est la rencontre avec un personnage haut en couleur : Doudou, tour à tour énervé, enjoué, qui rage la défaite et se console avec une mousse. C’est l’histoire d’un Bourg en Bresse/Nîmes, où 2 joueurs nîmois en tenue et crampons, Christiant Pérez et Sébastien Gérard, se dirigent vers la CGT avant le match pour serrer la main des doudou, des pat, des menat et toute la bande. Une première qui aurait pu être matérialisé tant la surprise de certains était exceptionnelle. Les bressans et moi, c’est l’engueulade sur le match contre Bédarrides perdu 13-14 alors qu’à la 80°, Bourg mène 13-0. Je les engueule, parce qu’ils disent que c’est la faute de l’arbitre, alors que je leur explique que prendre 14 points en 5 minutes, c’est pas du fait de l’arbitre, mais plutôt des joueurs. Mais, bon, on a continué à boire des pichets par la suite. Les bressans et moi, c’est la montée en pro D2 avec une photo qui fige le moment où l’on retrouve nîmois, rumilliens et chalonnais autour des bressans pour fêter ça. Les bressans et moi, c’est une année de pro D2, qui commence par la galère, puis l’espoir avec la victoire contre Auch. Tous les matches à domicile, j’y suis pour tenir la boutique H2. A la fin de la saison, H2 se fait jeter, tout comme l’entraîneur. Mais après tout, il y a quelques dirigeants que je n’aime pas et je peux enfin retourner dans les tribunes avec mes potes. Les bressans et moi, c’est Jean Anturville et son frangin qui me racontent des histoires de rugby que l’on aime écouter. Les bressans et moi, c’est Ventrejone et Polo la sianse, de vrais bons mecs qui nous manquent tellement, que ce soit sur le forum ou dans les travées de Verchère. Si seulement ils pouvaient nous redonner de leur folie. Les bressans et moi, c’est aussi les ultras violets dont je fais parti depuis 3 ans et qui ont enflammé Gerland ce samedi. Au départ, ils étaient une dizaine, ils se sont battus pour construire quelque chose qui a vraiment de la gueule. Les bressans et moi, c’est Jordan et ses tantines, c’est le combat de David qui, à défaut d’avoir un bon foie, a eu la foi pour se battre contre la maladie et être toujours fidèle au poste. C’est Yvan, Mac J, l’annecien, et tous ceux dont j’ai encore du mal à retenir les noms et les pseudos mais qui savent m’accueillir comme l’un des leurs. Les bressans et moi, c’est le fait de leur dire depuis plusieurs mois, que c’est leur année, que je le sens bien. Je commence à avoir l’habitude de la lecture des championnats, et ça sentait bon. Mais je voyais bien Bourgoin gagner, et puis… 21h15… L’indescriptible sentiment… Je suis dans les tribunes berjalliennes, et là j’ai tous ces visages qui défilent dans la tête. Vévé, Mathieu, Doudou, Jordan, Polo, Ventrejone, David, Yvan, roudoudou, Pat, Menat, Mostress, et tous les autres. Je ne savoure pas la victoire, je savoure leur bonheur dans un moment qui est historique pour le club. Il faut que j’aille les voir, non pas pour crier ou encore chanter, mais pour les regarder un par un et me gaver de cette joie. Pour conclure mes amis bressans, sachez que j’ai du mal à écrire ces lignes, car pour moi, l’aventure de RF va se terminer d’ici la fin de l’année. Mon bébé a grandit, il n’a plus besoin de moi et il continuera à vivre sans que je sois là. L’appel du large se fait sentir et il est temps de passer la main. Il est prévu que je parte loin de Verchère, mais je sais aujourd’hui que j’emporterai avec moi ces visages aperçus à 21h15. A l’aube des 10 ans de RF, c’est le cadeau que vous m’avez fait. C’est sur que Verchère va me manquer, l’USBPA est maintenant lancée et le meilleur est devant vous. Et s’il ne reste plus que toi…

Et je ne suis pas parti...

#30

Le centenaire de Decaze !

olivier a écrit :

Laissez moi vous conter une histoire. Une histoire qui vous replongera dans les rêves de ce rugby que l’on aime. De ce rugby où les anecdotes font l’histoire, et l’histoire développe l’amour d’une ville pour son club. Cette histoire est celle d’un club né de la mine et qui a su grandir pour devenir éternel au sein d’une ville qui compta en son temps, plus de 15 000 habitants et 6000 aujourd’hui. C’est un rugby fait de vaillance, d’honneur, de tradition et de transmission des valeurs, qui garde le côté coquin propre à chaque joueur dont l’identité même révèle cette ambiguïté entre la loyauté et la liberté. La loyauté, dans ce sport, est la valeur qui fait grandir, qui fait que chaque personne peut se regarder dans la glace le matin. Mais c’est aussi la loyauté envers les valeurs que sont la fraternité, la camaraderie, le don de soit et le respect des anciens. A Decazeville, cette loyauté fait foi, c’est celle des joueurs envers les habitants et celle des habitants envers le club. La mémoire collective n’est pas une leçon, elle est devenue une force. Lorsque vous rentrez sur le terrain, il y a les fantômes des gueules noires sous la chaleur des hauts fourneaux. Les âmes du passé hantent les tribunes et les vestiaires. Tout le monde pousse en mélée, tout le monde rit aux victoires et pleure aux défaites. La liberté, c’est celle de la rébellion, comme l’année du titre où la FFR s’en prenait au club. On retrouvera cet esprit pendant l’hiver 61/62 où 1500 mineurs ont fait grève en restant 2 mois dans la mine. C’est aussi la liberté de vivre et de faire ce que l’on veut, de jouer avec un plâtre, d’une belle mort dans les tribunes un jour de finale, de transformer l’entrainement en chasse au lièvre et de le déguster ensemble. Etre decazevillois, c’est être libre. De surcroît, si vous passez par là, vous vous laisserez séduire par l’accueil et la gentillesse des gens. Comme un paradoxe des sentiments, plus le travail y a été pénible, dangereux et exténuant, plus les gens, à l’instar des corons vous ouvrent leur coeur. Ils ne vous connaissent pas, les Robert, les Joël et les Nathalie, les Momo et les Lolo, les Christian, les Philippe, les Jean-Luc, sans compter les 200 bénévoles qui se sont proposés sans qu’on leur demande… Et pourtant, pas d’à priori, on vous accepte tels que vous êtes autour d’un verre consigné de l’amitié. Le problème est que tout le monde veut vous offrir un verre et qu’à l’arrivée, les brumes de l’alcool vous ramènent à la simplicité de la vie et du partage. Dimanche soir, un spectacle était organisé avec la diffusion d’un film sur le centenaire du club. Nous les gars de la ville, on se disait : encore un film réalisé avec les moyens du bord qui sera bien sympathique. Nous avons simplement pris une grosse claque de bonheur et à l’heure où j’écris ces lignes, j’en ai encore des frissons. Je revois ces anciens nous conter l’histoire du club, la création qui se décide en 5 minutes, les difficultés à trouver un terrain. Puis 5 minutes d’images des équipes sur le son des cornemuses… L’émotion monte dans le stade, certains reconnaissent leurs anciens et les applaudissent, quelques petits rires se font discrets sur le jeu des acteurs hésitants, mais au combien attachants. Les regards… Ces regards de vieux comblés par une vie dédiée à la ville et au club. Et puis le titre de champion de 1937 qui apparait en apothéose accompagné de feux d’artifice, les applaudissements de l’audience et des images, encore des images de liesse dans les rues de la ville lors des grands moments, les derbys, les photos en noir et blanc des anciens et enfin l’avenir avec les minots ballons en main qui assurent l’avenir. Et à la fin, après tellement d’applaudissements, la tribune se met à chanter en l’honneur de tout ce qui s’est fait. Car Decazeville, ce n’est pas le passé, c’est l’avenir du rugby. Quand l’argent ne sera plus là pour assurer la mégalomanie de certains clubs, il restera ces clubs, aux couleurs et aux noms inchangés, ces clubs dont les instants de gloire éphémères permettent de les situer sur une carte et d’imposer le respect. Alors effectivement, aujourd’hui c’est Decazeville, mais regardez autour de vous, il y a des clubs, qui avec peu de moyens font vibrer les poteaux chaque dimanche sans pour autant faire parler d’eux à longueur d’année. Prenez les temps d’aller boire une bière avec les bénévoles, partagez les repas, bougez et continuez à faire vivre le rugby que l’on aime. Ne restez pas trop sur le forum, prenez rendez-vous entre supporteurs lors des matches, ripaillez, chantez, applaudissez, buvez les verres de l’amitié, au diable les règles, soyez libres de vivre tant que vous le pouvez ! C’est le message simple que m’ont rappelé mes amis decazevillois ce week-end. Je suis sur que ceux qui m’ont accompagné ce week-end ont aujourd’hui une place en bleu et blanc dans le coeur.

#31

olivier a écrit :

Finale Chambéry/Mauléon en 2013

olivier a écrit :

C’est l’histoire d’un paquet de Pépitos qui a traversé le monde pour sceller une nouvelle amitié. Un jour de 2006, dans ce salon perdu au Danemark, un jour d’ennui peut être, quoique l’ennui n’est pas ce qui occupe ma vie… Un jour de nostalgie infantile, je me suis mis à vouloir manger des Pépitos. Mais les Pépitos au Danemark, c’est comme trouver une Edelweiss à Marseillan. C’est très rare. Le forum avait à peine 3 ans et on espérait à l’époque franchir les 4000 inscrits au mois de Décembre… Comme à mon habitude, ce fut alors le délire de demander à quelqu’un de m’envoyer des Pépitos et bien sur 2 personnes du forum trouvèrent l’idée amusante. Douce la biterroise et Bernard le chambérien envoyèrent donc ce paquet de Pépitos. L’aventure commença ainsi. Quelques mois après, pensant que ma politesse avait disparue, Bernard me demanda si j’avais bien apprécié les biscuits. Quels biscuits ? Je n’ai jamais reçu de biscuits ? Nous en arrivions à la conclusion que le paquet avait du être dégusté par des douaniers zélés. Quelques semaines plus tard, je vis arriver un paquet. Et là, ô surprise, c’était mes Pépitos. Le paquet avait été effectivement ouvert… Par la douane de New-York ! Puis, s’étant rendus compte de l’erreur d’expédition, la douane américaine ré-expédia les biscuits au Danemark. Quel rapport avec la finale de fédérale 2 ? Parfois un paquet de Pépitos qui a voyagé à travers le monde est capable de vous faire descendre de Lyon à Béziers pour être présent afin de soutenir votre ami chambérien et revoir votre amie biterroise, passer ainsi une journée avec toutes ces rencontres faites au fur et à mesure que RF avance. C’était le plaisir de retrouver les supporteurs savoyards croisés lors de la demi-finale, retrouver JP73 sur une aire d’autoroute avec lolo74 et les habitués, Jean-Claude, Socoeur… Ainsi que de nouvelles têtes. Le match est pour moi anecdotique, mais comme la veille lors de la finale de fédérale, vous ne pouvez pas savoir quel pied cela peut être de voir ces gens qui partagent ce lieu commun virtuel être renversés par l’ivresse de la victoire. Et cette victoire elle a été longue à se décider. 33 ans d’attente pour Chambéry avant de pouvoir retoucher un bout de bois. Nous avons bu des bières, nous avons parlé de nous, nous avons parlé de vous, de cette magie qui s’opère où les supporteurs se retrouvent autour d’une passion commune, sans haine, comme cela était dans le temps où les couleurs des clubs de rugby se mélangeaient au printemps en terre inconnue. Quel bonheur ces tablées, ces accolades, ces discussions. On croise aussi les perdants du jour et on leur dit bravo, parce qu’ils ont fait honneur à leur ville, à leur pays, à leurs couleurs. Ils ont été grands dans le combat, ils ont été dignes dans la défaites, tout comme Chambéry a été humble dans la victoire. Mauléon ville de rugby, c’est une évidence. Et puis, c’est le retour sur Lyon, avec quelques regrets de ne pas avoir pu parler à tous ceux que l’on aurait voulu. C’est la joie d’avoir eu du renfort de Decazeville dans la mer de l’amitié et partager une bière avec mon poto Robert. C’est le SMS de lolo le lendemain qui me dit que l’on ne va pas se voir pendant longtemps et que ça l’emmerde. Mais non lolo, on s’appelle, on se fait une bouffe, on refait le monde comme d’habitude. Plus besoin du rugby pour cela. Il est plus de minuit, je suis assis devant mon écran d’ordinateur, et vous savez quoi ? Je me sens bien. J’ai un paquet de Pépitos à côté de moi. Je m’amuse à regarder les dates d’inscriptions des forumistes. On voulait être 4000 inscrits en Décembre 2006, on a fini avec 5384 inscrits. On est prêt de 30 000 aujourd’hui. Bernard de sa Savoie, a le numéro 108, inscrit le 10 Juin 2004, Douce est revenue nous rejoindre un an après. Et pour tout vous dire, je ne suis pas si fan des Pépitos. En revanche, je sais qu’il y a une Edelweiss du côté de Marseillan, et ça, c’est la magie de RF. En savoir plus sur

T'as raison, RF c'est de l'émotion...

"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles."
O.Wilde

#32

la sup a écrit :
olivier a écrit :

Finale Chambéry/Mauléon en 2013

olivier a écrit :

C’est l’histoire d’un paquet de Pépitos qui a traversé le monde pour sceller une nouvelle amitié. Un jour de 2006, dans ce salon perdu au Danemark, un jour d’ennui peut être, quoique l’ennui n’est pas ce qui occupe ma vie… Un jour de nostalgie infantile, je me suis mis à vouloir manger des Pépitos. Mais les Pépitos au Danemark, c’est comme trouver une Edelweiss à Marseillan. C’est très rare. Le forum avait à peine 3 ans et on espérait à l’époque franchir les 4000 inscrits au mois de Décembre… Comme à mon habitude, ce fut alors le délire de demander à quelqu’un de m’envoyer des Pépitos et bien sur 2 personnes du forum trouvèrent l’idée amusante. Douce la biterroise et Bernard le chambérien envoyèrent donc ce paquet de Pépitos. L’aventure commença ainsi. Quelques mois après, pensant que ma politesse avait disparue, Bernard me demanda si j’avais bien apprécié les biscuits. Quels biscuits ? Je n’ai jamais reçu de biscuits ? Nous en arrivions à la conclusion que le paquet avait du être dégusté par des douaniers zélés. Quelques semaines plus tard, je vis arriver un paquet. Et là, ô surprise, c’était mes Pépitos. Le paquet avait été effectivement ouvert… Par la douane de New-York ! Puis, s’étant rendus compte de l’erreur d’expédition, la douane américaine ré-expédia les biscuits au Danemark. Quel rapport avec la finale de fédérale 2 ? Parfois un paquet de Pépitos qui a voyagé à travers le monde est capable de vous faire descendre de Lyon à Béziers pour être présent afin de soutenir votre ami chambérien et revoir votre amie biterroise, passer ainsi une journée avec toutes ces rencontres faites au fur et à mesure que RF avance. C’était le plaisir de retrouver les supporteurs savoyards croisés lors de la demi-finale, retrouver JP73 sur une aire d’autoroute avec lolo74 et les habitués, Jean-Claude, Socoeur… Ainsi que de nouvelles têtes. Le match est pour moi anecdotique, mais comme la veille lors de la finale de fédérale, vous ne pouvez pas savoir quel pied cela peut être de voir ces gens qui partagent ce lieu commun virtuel être renversés par l’ivresse de la victoire. Et cette victoire elle a été longue à se décider. 33 ans d’attente pour Chambéry avant de pouvoir retoucher un bout de bois. Nous avons bu des bières, nous avons parlé de nous, nous avons parlé de vous, de cette magie qui s’opère où les supporteurs se retrouvent autour d’une passion commune, sans haine, comme cela était dans le temps où les couleurs des clubs de rugby se mélangeaient au printemps en terre inconnue. Quel bonheur ces tablées, ces accolades, ces discussions. On croise aussi les perdants du jour et on leur dit bravo, parce qu’ils ont fait honneur à leur ville, à leur pays, à leurs couleurs. Ils ont été grands dans le combat, ils ont été dignes dans la défaites, tout comme Chambéry a été humble dans la victoire. Mauléon ville de rugby, c’est une évidence. Et puis, c’est le retour sur Lyon, avec quelques regrets de ne pas avoir pu parler à tous ceux que l’on aurait voulu. C’est la joie d’avoir eu du renfort de Decazeville dans la mer de l’amitié et partager une bière avec mon poto Robert. C’est le SMS de lolo le lendemain qui me dit que l’on ne va pas se voir pendant longtemps et que ça l’emmerde. Mais non lolo, on s’appelle, on se fait une bouffe, on refait le monde comme d’habitude. Plus besoin du rugby pour cela. Il est plus de minuit, je suis assis devant mon écran d’ordinateur, et vous savez quoi ? Je me sens bien. J’ai un paquet de Pépitos à côté de moi. Je m’amuse à regarder les dates d’inscriptions des forumistes. On voulait être 4000 inscrits en Décembre 2006, on a fini avec 5384 inscrits. On est prêt de 30 000 aujourd’hui. Bernard de sa Savoie, a le numéro 108, inscrit le 10 Juin 2004, Douce est revenue nous rejoindre un an après. Et pour tout vous dire, je ne suis pas si fan des Pépitos. En revanche, je sais qu’il y a une Edelweiss du côté de Marseillan, et ça, c’est la magie de RF. En savoir plus sur

T'as raison, RF c'est de l'émotion...

Puis notre boss raconte bien,c'est sa fille qui doit apprécier..;le soir avant dodo une petite histoire de loup,de bergère danoise ou de petit chaperon...

Rien ne vaut le rugby en F3-Retour aux clochers des villages et des valeurs du maillot,les vraies.....

#33

C'est aussi un site de :

C'était mieux au stade de l'Isle.

 

#34

Xicon64 a écrit :

Puis notre boss raconte bien,c'est sa fille qui doit apprécier..;le soir avant dodo une petite histoire de loup,de bergère danoise ou de petit chaperon...

Non, on écoute du métal en montrant nos culs aux voisins.

#35

Ravachol a écrit :

C'est aussi un site de :

vieux ?

allez l'iris
on peut vivre sans rugby...................................mais moins bien

/

#36

Cireur de pompes !

#37

J'en profite pour remercier la personne qui a appelé Bernard Laporte pour lui dire que j'étais néfaste.

#38

C'est pas un con pas tible.

"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles."
O.Wilde

#39

olivier a écrit :

J'en profite pour remercier la personne qui a appelé Bernard Laporte pour lui dire que j'étais néfaste.

mais non tu n'a pas un nez somptueux lol

Dernière modification par bruno1 (11/05/2016 12:22:56)

allez l'iris
on peut vivre sans rugby...................................mais moins bien

/

#40

ça dépend de quel nez on parle

#41

olivier a écrit :

Cireur de pompes !

T'es quand même moins couillon que le Ch'ti, c'est pour ça que t'es chef big_smile

C'était mieux au stade de l'Isle.

 

#42

olivier a écrit :

ça dépend de quel nez on parle

Pour Xicon, c'est un nez bulleux.

C'était mieux au stade de l'Isle.

 

3° mi-temps