Bon beh vous êtes tous en vacances dans le Couserans, personne pour me répondre. Heureusement j'arrive dans 3 semaines et j'aurais des nouvelles fraiches...

consorani09 a écrit :

Aux dernières nouvelles l'entraineur du sporting aurait été vu aux transhumances à seix le 15 juin pour tenter de recruter quelques bergers vaillants montagnards..............

Ca a du lui rappeler ses virées pour la fête à Seix quand il sortait du Maëva à l'aube. Et les after au Campot...

Ah l'hiver 2006 faisait chaud à Saint-Girons!! article, coté quillanais : Quillan piégé à Saint-Girons SAINT-GIRONS 40 -QUILLAN 6 À Saint-Girons. MT : 16-3. Temps froid et venteux, pelouse grasse, public nombreux. Arbitre M. Nin (Côte Basque-Landes). Directeur de jeu : M. Mazouat (Armagnac-Bigorre). Vainqueur. 5 essais de Raufast (36e), de pénalité (44e), Martin (61e, 82e), Boy (78e) ; 3 pénalités (11e, 34e, 42e) et 3 transformations (36e, 44e, 82e) de Parenti. Vaincus : 2 pénalités (8e et 48e) de Bourrel. Carton jaune : à Saint-Girons, Estaque (26e), Raufast (81e). Carton blanc : à Saint-Girons, Hernandez (52e) ; à Quillan, Raynaud (40e). USQ : Esquirol, Delpech, Martin, Marson, Bennavent, Laffont, Artigues, Frontil, Marcos, Jalibert, Navarro, Gherea, Gracia (cap), Renart, Bourrel. Remplaçants : Estel, Raynaud, Doumergue, Pesenti, Viguier, Rigaud, Piques. L'agressivité, dans le mauvais sens du terme, serait-elle une marque de fabrique des Ariégeois. Après Pamiers dimanche dernier, rebelote ce dimanche avec Saint-Girons. Attendue, statut de leader oblige, l'USQ est tombée dans un véritable traquenard en Ariège, face à une équipe de Saint-Girons remontée et un public hostile. D'entrée de jeu, avant même que le match commence, à la sortie des équipes, la couleur était annoncée. Le capitaine local Raufast provoquait les « rouge et bleu » et une belle « générale » démarrait avant le coup de sifflet final. Retour des acteurs aux vestiaires sur ordre de M. Nin et avec huit minutes de retard le match pouvait enfin démarrer. Ceux sont les locaux qui, galvanisés, ouvraient le score sur pénalité grâce à Parenti, des vingt-deux mètres de face (3-0). Malmenés devant les Quillanais allaient faire le dos rond en ce début de partie et répliquaient par Bourrel, sur pénalité des vingt-deux mètres, suite à un plaquage à retardement sur Jalibert (3-3). Calmés un petit peu après un « jaune » infligés à leur deuxième ligne Estaque, les Ariégeois allaient trouver la faille dans la défense quillanaise grâce à Raufast qui échappaient à deux défenseurs pour marquer en force, avec la transformation et une pénalité de Parenti, Saint-Girons fait le break (13-3). Puis 16 à 3 juste avant les citrons après une nouvelle pénalité. À la reprise les « rouge et bleu » vaillants en diable mais trop handicapés ne vont pas résister aux assauts des trois-quarts ariégeois. C'est tout d'abord un essai de pénalité accordé après un plaquage « haut » de Bourrel sur Lamy, qui faisait enfler le score à 23 à 3. Bourrel réduisait le score sur pénalité à 23 à 6 mais les Ariégeois avaient décidé de faire boire le calice jusqu'à la lie au leader et ils inscriront trois nouveaux essais par l'intermédiaire de Martin (2) et Boy. L'USQ s'incline donc 40 à 6 dans un climat détestable, mais les supporters peuvent être fiers de la partie courageuse qu'ont livrée les vingt-deux joueurs présents sur le pré de Saint-Girons où il ne faisait pas bon tomber hier dimanche. En ouverture Saint-Girons bat USQ 37 à 0 article, coté st-girons : RUGBY. FÉDÉRALE 3. DANS UN MATCH QUI SENTAIT LA POUDRE, LES JOUEURS DU SPORTING AVAIENT À CŒUR DE SE RACHETER. FACE AU LEADER QUILLANAIS DÉPASSÉ, LES HOMMES DE NICOLAS MARTIN ONT RETROUVÉ LEURS VALEURS. Une revanche étincelante Avant la rencontre, cela sentait la poudre. Il est vrai qu'il existait un contentieux du match aller. Le ton de cette journée fut donné par l'équipe de nationale B avec une bagarre dès la première mêlée. Puis ce fut le tour de la rencontre de fédérale 3 qui innova en matière de mise en bouche par une bataille rangée avant que l'arbitre ne rentre lui aussi sur le terrain. Tout ce petit monde fut invité à revenir dans les vestiaires pour un sermon en règle du referee. Enfin, après quelques mises au point, les débats purent commencer sous de meilleurs auspices. Les Audois n'étaient pas venus en victimes expiatoires, bien au contraire, mais malheureusement pour eux ils ne firent impression que seulement une petite demi-heure. Pourtant, ils ont ouvert le score par une pénalité dès la dixième minute. Les locaux remirent les pendules à l'heure une minute plus tard par J.-C. Parenti. Il fallut quand même attendre plus de trente minutes pour que les Couserannais prennent la mesure des Audois par encore une pénalité de Parenti. Une minute après avoir pris les commandes au tableau d'affichage, la machine à essais du Couserans s'est mise en marche par son capitaine Raufast pour un essai après six temps de jeu. Une pénalité de Parenti compléta le score de 16 à 3 au repos. Dès la reprise, le nombreux public du stade Léopold-Gouiric fut récompensé par quatre essais accordés et deux refusés pour des passages en touche seulement constatés par les arbitres de touche audois. Ce même public a pu apprécier la façon de jouer de Quillan, tout à la main mais sans ballon. Ce qui est vraiment regrettable, c'est de voir cette équipe qui caracole en tête de la poule en pratiquant du non jeu et surtout de l'antijeu parfois dangereux. Pour renforcer ce jugement, l'essai de pénalisation accordé à la quarante-cinquième minute sur un très judicieux coup de pied à suivre de Martin, repris par Lamy, descendu par une magistrale cravate à cinq mètres de la terre promise. Martial Nin, l'arbitre de la rencontre, n'hésita pas et se dirigea bras levé entre les poteaux. A signaler l'arbitrage exemplaire de referee du comité de Côte Basque-Landes qui a su tenir les deux équipes et ainsi permettre aux Couserannais enfin de produire le jeu qui est le leur depuis le début de la saison et qui malheureusement est resté parfois à quai. Toujours est-il que le Sporting par cette victoire se relance dans ce championnat et attend dans quinze jours de pied ferme son voisin de Pamiers pour une rencontre au sommet. Au vu de la prestation des Ariégeois ce dimanche, la fin de la saison risque d'être très riche en événements joyeux pour le rugby ariégeois. Le ton de cette journée fut donné par l'équipe de nationale B avec une bagarre dès la première mêlée. Puis ce fut le tour de la rencontre de fédérale 3 qui innova en matière de mise en bouche par une bataille rangée avant que l'arbitre ne rentre lui aussi sur le terrain -------------------------------------------------------------------------------- vestiaires et indiscrétions Henri Nayrou : « Joli résultat d'une équipe vexée qui ne s'est pas contentée de montrer les dents mais a aussi montré du talent ». Jean Coto. Le président du Sporting-Club Saint-Girons avait le sourire : « Quatre mois que j'attendais ce match. La défaite à Quillan m'était restée en travers de la gorge. Notre équipe, malgré le manque de centimètres et de kilos, a prouvé qu'elle était capable de renverser des montagnes. Les avants ont été admirables; par contre nos trois-quarts leur ont fait beaucoup de mal. Ce qui me satisfait c'est qu'enfin les joueurs réalisent pleinement ce qui avait été prévu. Maintenant on est prêts pour la venue de Pamiers dans quinze jours et attaquer les phases finales du championnat. Par contre ce qui me fait du mal c'est de voir les deux équipes de tête de la poule, Quillan et Verfeil, qui ne proposent aucun rugby si ce n'est du non jeu. Maintenant je suis confiant pour la suite et je crois que cette équipe a pris conscience de son potentiel et nous réserve de belles choses pour la suite du championnat ». Patrice Sablé : « On a prouvé que nous pouvons nous engager et produire du jeu. Portant, à l'entame du match, j'ai eu quelques frissons car j'avais peur que nous tombions encore dans le jeu de l'adversaire. Mais les gars m'ont très vite rassuré. Maintenant, un autre test nous attend avec la venue de Pamiers ». Agression. Denis Lourde, le trésorier du Sporting a été agressé par un équipier premier de Quillan durant la rencontre de la nationale B. Blessé au visage il a été fait appel à la gendarmerie qui a reçu la plainte de Denis Lourde. Affaire à suivre… Blessé. Le troisième ligne de Quillan Alain Laffont sorti du terrain à la dixième minute a été conduit à l'hôpital Purpan de Carcassonne avec le lobe d'une oreille arraché. Neige. Les dirigeants du club, Gérard Cambus et deux employés municipaux ont travaillé d'arrache pied en déneigeant le terrain hier matin afin que la rencontre tant attendue ai lieu

Souvenirs, souvenirs .......

consorani09 a écrit :

Ah l'hiver 2006 faisait chaud à Saint-Girons!! article, coté quillanais : Quillan piégé à Saint-Girons SAINT-GIRONS 40 -QUILLAN 6 À Saint-Girons. MT : 16-3. Temps froid et venteux, pelouse grasse, public nombreux. Arbitre M. Nin (Côte Basque-Landes). Directeur de jeu : M. Mazouat (Armagnac-Bigorre). Vainqueur. 5 essais de Raufast (36e), de pénalité (44e), Martin (61e, 82e), Boy (78e) ; 3 pénalités (11e, 34e, 42e) et 3 transformations (36e, 44e, 82e) de Parenti. Vaincus : 2 pénalités (8e et 48e) de Bourrel. Carton jaune : à Saint-Girons, Estaque (26e), Raufast (81e). Carton blanc : à Saint-Girons, Hernandez (52e) ; à Quillan, Raynaud (40e). USQ : Esquirol, Delpech, Martin, Marson, Bennavent, Laffont, Artigues, Frontil, Marcos, Jalibert, Navarro, Gherea, Gracia (cap), Renart, Bourrel. Remplaçants : Estel, Raynaud, Doumergue, Pesenti, Viguier, Rigaud, Piques. L'agressivité, dans le mauvais sens du terme, serait-elle une marque de fabrique des Ariégeois. Après Pamiers dimanche dernier, rebelote ce dimanche avec Saint-Girons. Attendue, statut de leader oblige, l'USQ est tombée dans un véritable traquenard en Ariège, face à une équipe de Saint-Girons remontée et un public hostile. D'entrée de jeu, avant même que le match commence, à la sortie des équipes, la couleur était annoncée. Le capitaine local Raufast provoquait les « rouge et bleu » et une belle « générale » démarrait avant le coup de sifflet final. Retour des acteurs aux vestiaires sur ordre de M. Nin et avec huit minutes de retard le match pouvait enfin démarrer. Ceux sont les locaux qui, galvanisés, ouvraient le score sur pénalité grâce à Parenti, des vingt-deux mètres de face (3-0). Malmenés devant les Quillanais allaient faire le dos rond en ce début de partie et répliquaient par Bourrel, sur pénalité des vingt-deux mètres, suite à un plaquage à retardement sur Jalibert (3-3). Calmés un petit peu après un « jaune » infligés à leur deuxième ligne Estaque, les Ariégeois allaient trouver la faille dans la défense quillanaise grâce à Raufast qui échappaient à deux défenseurs pour marquer en force, avec la transformation et une pénalité de Parenti, Saint-Girons fait le break (13-3). Puis 16 à 3 juste avant les citrons après une nouvelle pénalité. À la reprise les « rouge et bleu » vaillants en diable mais trop handicapés ne vont pas résister aux assauts des trois-quarts ariégeois. C'est tout d'abord un essai de pénalité accordé après un plaquage « haut » de Bourrel sur Lamy, qui faisait enfler le score à 23 à 3. Bourrel réduisait le score sur pénalité à 23 à 6 mais les Ariégeois avaient décidé de faire boire le calice jusqu'à la lie au leader et ils inscriront trois nouveaux essais par l'intermédiaire de Martin (2) et Boy. L'USQ s'incline donc 40 à 6 dans un climat détestable, mais les supporters peuvent être fiers de la partie courageuse qu'ont livrée les vingt-deux joueurs présents sur le pré de Saint-Girons où il ne faisait pas bon tomber hier dimanche. En ouverture Saint-Girons bat USQ 37 à 0 article, coté st-girons : RUGBY. FÉDÉRALE 3. DANS UN MATCH QUI SENTAIT LA POUDRE, LES JOUEURS DU SPORTING AVAIENT À CŒUR DE SE RACHETER. FACE AU LEADER QUILLANAIS DÉPASSÉ, LES HOMMES DE NICOLAS MARTIN ONT RETROUVÉ LEURS VALEURS. Une revanche étincelante Avant la rencontre, cela sentait la poudre. Il est vrai qu'il existait un contentieux du match aller. Le ton de cette journée fut donné par l'équipe de nationale B avec une bagarre dès la première mêlée. Puis ce fut le tour de la rencontre de fédérale 3 qui innova en matière de mise en bouche par une bataille rangée avant que l'arbitre ne rentre lui aussi sur le terrain. Tout ce petit monde fut invité à revenir dans les vestiaires pour un sermon en règle du referee. Enfin, après quelques mises au point, les débats purent commencer sous de meilleurs auspices. Les Audois n'étaient pas venus en victimes expiatoires, bien au contraire, mais malheureusement pour eux ils ne firent impression que seulement une petite demi-heure. Pourtant, ils ont ouvert le score par une pénalité dès la dixième minute. Les locaux remirent les pendules à l'heure une minute plus tard par J.-C. Parenti. Il fallut quand même attendre plus de trente minutes pour que les Couserannais prennent la mesure des Audois par encore une pénalité de Parenti. Une minute après avoir pris les commandes au tableau d'affichage, la machine à essais du Couserans s'est mise en marche par son capitaine Raufast pour un essai après six temps de jeu. Une pénalité de Parenti compléta le score de 16 à 3 au repos. Dès la reprise, le nombreux public du stade Léopold-Gouiric fut récompensé par quatre essais accordés et deux refusés pour des passages en touche seulement constatés par les arbitres de touche audois. Ce même public a pu apprécier la façon de jouer de Quillan, tout à la main mais sans ballon. Ce qui est vraiment regrettable, c'est de voir cette équipe qui caracole en tête de la poule en pratiquant du non jeu et surtout de l'antijeu parfois dangereux. Pour renforcer ce jugement, l'essai de pénalisation accordé à la quarante-cinquième minute sur un très judicieux coup de pied à suivre de Martin, repris par Lamy, descendu par une magistrale cravate à cinq mètres de la terre promise. Martial Nin, l'arbitre de la rencontre, n'hésita pas et se dirigea bras levé entre les poteaux. A signaler l'arbitrage exemplaire de referee du comité de Côte Basque-Landes qui a su tenir les deux équipes et ainsi permettre aux Couserannais enfin de produire le jeu qui est le leur depuis le début de la saison et qui malheureusement est resté parfois à quai. Toujours est-il que le Sporting par cette victoire se relance dans ce championnat et attend dans quinze jours de pied ferme son voisin de Pamiers pour une rencontre au sommet. Au vu de la prestation des Ariégeois ce dimanche, la fin de la saison risque d'être très riche en événements joyeux pour le rugby ariégeois. Le ton de cette journée fut donné par l'équipe de nationale B avec une bagarre dès la première mêlée. Puis ce fut le tour de la rencontre de fédérale 3 qui innova en matière de mise en bouche par une bataille rangée avant que l'arbitre ne rentre lui aussi sur le terrain -------------------------------------------------------------------------------- vestiaires et indiscrétions Henri Nayrou : « Joli résultat d'une équipe vexée qui ne s'est pas contentée de montrer les dents mais a aussi montré du talent ». Jean Coto. Le président du Sporting-Club Saint-Girons avait le sourire : « Quatre mois que j'attendais ce match. La défaite à Quillan m'était restée en travers de la gorge. Notre équipe, malgré le manque de centimètres et de kilos, a prouvé qu'elle était capable de renverser des montagnes. Les avants ont été admirables; par contre nos trois-quarts leur ont fait beaucoup de mal. Ce qui me satisfait c'est qu'enfin les joueurs réalisent pleinement ce qui avait été prévu. Maintenant on est prêts pour la venue de Pamiers dans quinze jours et attaquer les phases finales du championnat. Par contre ce qui me fait du mal c'est de voir les deux équipes de tête de la poule, Quillan et Verfeil, qui ne proposent aucun rugby si ce n'est du non jeu. Maintenant je suis confiant pour la suite et je crois que cette équipe a pris conscience de son potentiel et nous réserve de belles choses pour la suite du championnat ». Patrice Sablé : « On a prouvé que nous pouvons nous engager et produire du jeu. Portant, à l'entame du match, j'ai eu quelques frissons car j'avais peur que nous tombions encore dans le jeu de l'adversaire. Mais les gars m'ont très vite rassuré. Maintenant, un autre test nous attend avec la venue de Pamiers ». Agression. Denis Lourde, le trésorier du Sporting a été agressé par un équipier premier de Quillan durant la rencontre de la nationale B. Blessé au visage il a été fait appel à la gendarmerie qui a reçu la plainte de Denis Lourde. Affaire à suivre… Blessé. Le troisième ligne de Quillan Alain Laffont sorti du terrain à la dixième minute a été conduit à l'hôpital Purpan de Carcassonne avec le lobe d'une oreille arraché. Neige. Les dirigeants du club, Gérard Cambus et deux employés municipaux ont travaillé d'arrache pied en déneigeant le terrain hier matin afin que la rencontre tant attendue ai lieu

alors poule du sporting cette annee - st sulpice descend de f3 peu d infos - moissac gros morceau apparement recrues de castelsarrasin et montauban - laroque nos amis toujours aussi penibles - st orens la aussi c est du lourd renfort de joueurs de tornefeuille villefranche et balma - caussade vise qualif pour championnat de france - la saudrune club qui ressemble a portet a battu montesquieu en challenge du comminges - leguevin qui monte de ph apparement le petit de la poule dur dur dur

Défaite 12 à 24 contre une équipe de Pamiers aux gabarits impressionnants. Bonne rencontre de reprise. Ce soir matche pour la troisième place à Pierre Balussou à Pamiers en lever de rideau de Saverdun-Pamiers Le 13 matche amical contre Auterive. Le 22/9 début du championnat à Cugnaux ( La Saudrune ) à puis réception de Moissac........

Bon petit tour d'horizon de nos voisins ariégeois. - Saverdun jouera en poule 7 de fedérale 2 en compagnie de Le Boucau, Fleurance, Morlaàs, Gaillac, Marmande, Nafarroa, Graulhet, l'isle jourdain, Aramits. Premier matche 15/9 à 15h30 Graulhet-Saverdun - Pamiers jouera en poule 12 de fedérale 3 en compagnie de Vallée du Girou, Castelnaudary, Vendres Lespignan, Balma, FCTT, Pézenas, Prades, Muret, Côte Vermeille. Premier matche 15/9 à 15h30 Pamiers-Vendres Lesp.

Dernière modification par consorani09 (04/09/2013 17:50:24)