forzaol a écrit :

Quintalshark a écrit :

perdiac a écrit :

J'ai aimé la 1ere mi-temps,moins la seconde,j'ai trouvé Joubert pareil que d'habitude c'est à dire du niveau international actuel,tout le monde il est sympathique et gentil,j'me suis taper une pignole en pleine nuit en repensant à ce match. Que du bonheur.

Du genre longue à venir......., tu la sens....., tu l'attends........ et vlan dans les chaussettes à Michalak qui fait en-avant...et là tu hurles en te réveillant de ton rêve, Joubert vient de souffler dans son sifflet !

ou dans celui a perdiac

J'aimerai qu'on observe une minute de silence,le french flair est mort en 2eme mi-temps,le goret va pouvoir retourner aux truffes dans des terrains moins gazonnés.....!!

Le Frech Flair est mort avec le professionalisme.

"Au-delà du combat physique, le rugby est aussi un sport d’évitement, avide d’intervalles, de mouvements et de grandes chevauchées. Viennent alors la création, l’improvisation, la volonté de produire de l’inattendu." Cette inspiration a trouvé un nom, dans les années 60 : le « French flair », expression aux origines douteuses, qui serait née de la plume d’un journaliste anglais séduit par le fantasque jeu français. Pierre Villepreux, ancien arrière puis entraîneur du XV tricolore : « Il y a eu une époque où, comparé au jeu anglais plus pragmatique et stéréotypé, la France a developpé un jeu plus inventif. Le French flair, c’est cette prise d’initiative, souvent inhabituelle. Cela demande de l’intelligence dans la lecture d’une situation, ce dont tout le monde n’est pas capable. » Le French flair, c’est aussi l’amour du beau jeu, l’envie de continuer quand d’autres « auraient tapé en touche » pour se débarrasser du ballon. Allez expliquer ça à Bastareau....

Pont-Vert a écrit :

il me semble que VILLEPREUX en tant que sélectionneur avait bridé ses joueurs sur justement la prise d'initiative

C'était le début de la fin du French flair...

Vous tirez sur bastareaud en permanence, comme si c'était le nouveau Dugarry. Je suis désolé, mais hier son match n'a pas été mauvais du tout. Et quand j'entends parlé du rôle du 12, faut se réveiller, le jeu a bien changé, les défenses sont beaucoup plus hermétiques et si l'on regarde bien, la plupart des décalages sont aujourd'hui fait en bout de ligne. Quand on met des mecs comme Bastareaud ou Tuilagi, c'est pour aller pêter, pas pour faire de l'évitement. Ce qui manquae à Bastareaud pour devenir un très grand joueur, c'est de signer à Toulouse. Il n'y a qu'à voir ce que Picamoles est devenu, tout comme les joueurs qui étaient en fin de cycle qui se sont relancés là-bas. Je vois les anglais qui encensent Tuilagi, sauf que pendant une heure on ne l'a pas vu et que son essai est entaché d'une faute au départ... Ce qui nous coute des points Samedi, ce sont les tentatives de tricherie des français, comme Nyanga qui fait écrouler le maul dans nos 22 en face des poteaux, et pourtant c'est un super joueur. On n'a pas su non plus faire disjoncter leur 10 alors qu'il était au bord du gouffre... Le problème n'est pas la philosophie de jeu, mais les philosophies de jeu. Il faut s'avoir s'adapter à son adversaire et Samedi les anglais ont excellé dans ce domaine. On s'est fait marcher sur la gueule et on essai de trouver du positif... Ben non, y a pas de positif, on est des australiens du mois de Novembre.