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Fédérale 1

U S BOURG EN BRESSE SAISON 2017 - 2018

#2843

Comparons 2017 et 2018*...........savocequesavo !!!!

*2018 ac19 matches contre 18 la saison dernière

2017..............2018

55 contre 56 pts

12 V 2N 4D contre  12  0    7

392/284  contre 431/373 défense friable

40/24 contre 48/39 essais idem

3 bo contre 4 bo et 4bd

Laurent TRAVERS: '' Certains ont plus ouvert la porte du frigo que  celle de la salle de muscu'......... ''

#2844

Apparemment,ULUGIA non conservé par Clermont...........

Laurent TRAVERS: '' Certains ont plus ouvert la porte du frigo que  celle de la salle de muscu'......... ''

#2845

MARCFANXV a écrit :
Fiphy le Montmerlois a écrit :
dombiste uv a écrit :

ont 50 a15 mais y a pas de quoi etres content ont marque des essais sur les fautes adverse  ont est loin de la d 2

Certes, mais à Rouen, on donne 6 essais! c'est un peu l'inverse ce soir.

Je pense au contraire que ce profil de match est tt sauf anodin à fortiori après la claque subie à Rouen...Outre le fait que cela permet de se remettre un peu la tête à l(endroit, le contenu permet d'envisager à nouveau une dimension du jeu de Rugby entre-aperçue lors du déplacement à Albi et depuis tombée un peu en désuétude (avec pour conséquences qqs points laissés en route !)....Je voulais parler de la capacité à transformer illico les ballons de récupération en occasions de marquer, à se nourrir des fautes adverses, à ètre efficace prêt des lignes, bref à performer dans la dimension équipe de contre...Cette dimension du jeu dans le cadre des matchs de phase finale souvent fermés, où le calcul l'emporte sur les grandes envolées prend d'autant + de relief que les munitions offertes par l'adversaire sont généralement rares...La différence se fait souvent sur la capacité à transformer ces rares opportunités en points (pour mémmo tt ce qui manqua à BEB vs Chambé l'an dernier !)...Cette dimension prend d'autant plus d'importance quand tu n'as pas un secteur ultra-dominant (ou à l'exact opposé ultra-faible) clairement identifié, que tu fais la maille à peu prêt partout mais sans avoir d'absolues certitudes ou un/des joueurs marqués comme assurément Facteur +++ ! En début de saison, lors de la victoire à Albi, et au vu du contenu, j'imaginais qu'USBPA allait exceller dans une approche du jeu un peu Caméléon, qui s'adapte vite et convertit presto, les ballons rendus par l'adversaire. Ils ne s'y sont pas pris autrement pour gagner dans le Tarn ! Et puis cet aspect du jeu s'est un peu altéré au fil de la saison jusqu'à arriver au match de Rouen où le curseur s'est mm inversé jusqu'à ce que ce soit les Violets qui alimentent les autres...Alors, et mm si biensûr RCS est venu un peu les mains en haut du guidon, à travers le contenu, on peut aussi considérer que les Bressans ont repris (un peu) le fil d'un jeu qui correspond mieux à leur adn...En ce sens, je pense qu'on peut tirer qqs enseignements de ce match et que c'est un (petit) signe positif avant d'aborder les Phases Finales...Biensur, les choses en la matière sont précaires et cette échéance sera abordée avec l'habit de l'outsider mais si on titille la bonne corde, qui sait ?

Décidément, tu as le chic pour très bien analyser un match: merci! 

#2846

SOURCE MIDOL

"Chez nous, à Dax..."

Jérôme Prevot

il y a 37 minutes

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L'US Dax jouera en Fédérale 1 l'année prochaine. Une descente aux enfers pour un club qui avait fait du paternalisme et de la promotion sociale sa marque de fabrique. Sauvé in extremis par la décision de CNOSF Retour sur un modèle qui sentait si bon les années 5O et 60 et qui s’est fracassé dans les années 2000.

Déjà, en 2002, lors de la descente historique en Pro D2, on avait senti le vent glacé de l’histoire. On espérait alors que la tradition, qui faisait rimer thermalisme et paternalisme, serait plus forte que la marche impérieuse du professionnalisme. On y a cru, et plus encore quand, entre 2007 et 2009, l’USD revint en Top 14, mince rayon de soleil dissous par une nouvelle descente. La dernière illusion date de 2012 et un barrage d’accession perdu face à Mont-de-Marsan. La suite fut un calvaire ou presque. Vu de loin, on sentait bien que ce modèle ancestral était en train de s’essouffler avant de s’asphyxier. Dax aura tiré au maximum sur la corde, mais le sens de la tradition, de la cooptation et du renvoi d’ascenseur social n’ont pas suffi.

Pas d'élection

Ce club avait ses propres rites à la limite de la légalité. Par tradition, il ne devait pas y avoir d’élection pour élire le bureau et le président. Cela devait se faire sous forme d’un plébiscite et sans que le futur président ait fait acte de candidature. L’USD était administrée en douceur et selon les habitudes à la fois chaleureuses et feutrées de la bourgeoisie locale comme dans un club de bridge ou pour une séance du Rotary. "Pas de compétition entre nous", explique Pierre Albaladéjo, légende vivante de l’USD, président au début des années 1990. "De là est née la fameuse expression : "Chez nous, à Dax" pour sous-entendre qu’ici, c’était différent et un peu mieux qu’ailleurs" Autre figure du club, Jean-Louis Bérot confirme : "Nous n’aimions pas les élections pour ne pas prendre le risque de voir la moitié des dirigeants fâchée contre l’autre. Aujourd’hui, nous avons encore plaisir à nous rencontrer."

Pierre Albaladejo aura une statue à son effigie dans la ville de Dax

Pierre Albaladejo aura une statue à son effigie dans la ville de DaxIcon Sport

Laurent Rodriguez a joué à l’USD dans la deuxième partie de sa carrière : "Le club avait la réputation d’être peu ouvert sur l’extérieur, un peu replié sur lui-même. Mais quelle unité, quelle proximité entre joueurs et dirigeants ! Une chose m’a frappée. Alors qu’à la Fédération, il y avait des élections très féroces, toutes les tendances étaient représentées au club, par des gens qui s’entendaient très bien en plus." Le système fonctionnait encore en 1996, un an après le passage au professionnalisme, quand Dax joua à Bordeaux sa dernière demi-finale perdue contre Toulouse. Évoluaient alors Olivier Roumat, Richard Dourthe, Olivier Magne, Fabien Pelous, Raphaël Ibanez, Laurent Rodriguez, Christophe Milhères, Pascal Giordani, Ludovic Loustau soit 428 sélections passées ou futures.

Laurent Rodriguez, c'est 56 sélections avec le XV de France

Laurent Rodriguez, c'est 56 sélections avec le XV de FranceIcon Sport

"Quand je repense à Dax, je revois le sourire radieux du demi de mêlée Paul Lasaosa, l’un des types les plus exquis du rugby d’après-guerre, ou le sourire d’André Bérilhe malgré sa réputation non usurpée de rudesse. Mais dans la vie, il était si charmant…, se souvient Denis Lalanne, chroniqueur à Midi Olympique. Le professionnalisme n’était pas fait pour ce club où les joueurs n’étaient pas à plaindre. Ils étaient bien conseillés et, après leur carrière, ils réussissaient dans la vie. La solidarité des générations y a toujours été frappante."

Gang des blazers

On ne saurait mieux résumer l’esprit de ce club fondé sur la force de ses dirigeants, un vrai "gang des blazers" bien placés dans les instances et rois du coup de pouce professionnel. Ils avaient le chic pour transformer un fils du peuple en notable bien mis, dentiste, kiné (spécialité locale à cause du thermalisme), assureur, hôtelier avant de devenir dirigeant à son tour. La chaîne a traversé les époques avant de céder à la fin des années 1990 quand les départs de Raphaël Ibanez, Richard Dourthe et d’Olivier Magne marquèrent un vrai tournant.

Richard Dourthe devrait très prochainement quitter ses fonctions de manager de Dax

Richard Dourthe devrait très prochainement quitter ses fonctions de manager de DaxIcon Sport

"Nous n’avons jamais été champions mais je défie n’importe quel club d’avoir fait mieux que nous en termes de promotion sociale des joueurs."

Pierre ALBALADÉJO, Ancien président de Dax

Auparavant, cette ville qui n’a jamais compté plus de 20 000 habitants, quêtait chaque année le Bouclier de Brennus, un désir fou jamais assouvi malgré cinq passages en finale (de 1956 à 1973), une poisse incroyable qui faisaient des Dacquois les Poulidors du rugby. "Nous n’avons jamais été champions mais je défie n’importe quel club d’avoir fait mieux que nous en termes de promotion sociale des joueurs, explique Pierre Albaladéjo. J’ai fait toute ma carrière d’entrepreneur en empruntant aux banques et j’avais la caution automatique de mon président, René Dassé. Ça valait toutes les primes de match du monde car, joueurs, nous ne recevions rien, sauf une enveloppe à Noël pour acheter des jouets aux enfants. René Dassé avait réussi dans les affaires. Il avait une société de bâtiments préfabriqués. Je l’ai vu dire à un trois-quarts centre : "Tu vas monter ta propre entreprise et je serai ton client.""

" Un jour, le dirigeant n'a plus été écouté"

Cette cité bourgeoise et commerçante dopée par le thermalisme et l’hôtellerie cultivait le paradoxe comme une combinaison secrète. Cinq jours par an, elle troque encore sa nature paisible pour une feria orgiaque, nourrie de corridas sacrificielles. En plus des taureaux et des libations, le rugby lui fournissait chaque semaine un autre exutoire. On aurait cru la courtoisie exquise des notables dacquois plus adaptée à l’exigence offensive des frères Boniface et de Christian Darrouy mais, à la grande époque, l’USD était entraînée par la personnalité rude et pragmatique de Toto Desclaux, concessionnaire automobile et futur discret entraîneur du grand chelem 1977. "Il n’était pas homme à se confier, ni à prendre trop de risques. Il aimait les deuxième ligne de soutien qui ne décollaient pas trop du sol, des joueurs comme "Patxi" Lassère, très forts pour faire le ménage. Dax s’appuyait sur des packs très forts même s’il avait des talents éclatants comme Jean Othats, mais ça restait des initiatives individuelles. Ce n’était pas pensé, répété et organisé comme chez les rivaux montois", poursuit Denis Lalanne. Jean Othats trouva brusquement la mort dans un accident de la route en 1964 avec le frère de Pierre Albaladéjo et Émile Carrère. Un coup du sort de plus pour l’USD, poursuivie par la plus noire des malchances.

En 1969, alors qu’elle dominait la saison, elle fut battue par Bègles en demie sur un drop refusé à Capdepuy. En 1973, elle élimina le grand Béziers à l’issue d’une demi-finale impériale mais se laissa griser en finale face à l’outsider tarbais. Le destin a donc été vache avec la vilel taurine, c’est une certitude, même s’il lui a laissé cinq victoires en Challenge Yves-Du-Manoir comme consolations. Autre figure du club, Jean-Louis Bérot tire un bilan un rien désenchanté : "Je ne sais pas si nous étions un modèle car beaucoup de clubs fonctionnaient comme nous. Je ne sais pas si nous étions plus vertueux, mais nous le sommes peut-être restés plus longtemps. Nous savions que ce serait difficile mais nous sommes restés, plus pour le club lui-même que pour le rugby. Nous avions une certaine éducation ici. Le dirigeant était fort, il était écouté par les joueurs et par les parents du joueur. Et puis, un jour, le dirigeant n’a plus été écouté. Il a été remplacé par l’agent. Et le dirigeant est devenu suspect…"

C'ETAIT LE BON TEMPS !!!!!!!!!!! L'homme au centre ...........

Laurent TRAVERS: '' Certains ont plus ouvert la porte du frigo que  celle de la salle de muscu'......... ''

#2847

CHEZ NOUS A DAX  

que de souvenir de ses annéés 60 - 70  a verchere avec darrouy les boniface albaladejo carrere et les autres nom oublier   et  le stade verchere plein .

j ais rencontré il y 5 ou6 ans un ancien joueur de lourdes qui me disait a cette epoque bourg en bresse c etait du solide ,esperons que ça reviendra

#2848

À la Chagne, les Espoirs de l'USB remportent leur match face à Chambéry ce dimanche 8 avril : 19-13.

#2849

Oldoakfarmer a écrit :

À la Chagne, les Espoirs de l'USB remportent leur match face à Chambéry ce dimanche 8 avril : 19-13.

super bravo...

#2850

Oldoakfarmer a écrit :

À la Chagne, les Espoirs de l'USB remportent leur match face à Chambéry ce dimanche 8 avril : 19-13.

Bravo à nos jeunes violets! yes

#2851

Effectif quasi complet à l'entrainement aujourd'hui, avec le retour de BUBU, JEAN-ETIENNE, JACQUET. Seul Loic MONDOULET reste à l'infirmerie apparemment.

#2852

.............on attaque donc le  sprint final avec l'effectif au  complet..........ce qui suppose des  choix ,tt le monde au taquet ..........!!!!.............et à égalité de chance ?

Dernière modification par PICARD-GIRARD (13/04/2018 17:02:49)

Laurent TRAVERS: '' Certains ont plus ouvert la porte du frigo que  celle de la salle de muscu'......... ''

#2853

JEUNES 

Challenge Sud-Est

Samedi 14 avril aux Vennes
Phliponeau
Bourg Rugby-Meximieux à 16h 

Teulière B
Bourg Rugby-Faucigny Sallanches à 14h30 

Dimanche 15 avril à 15h
Espoirs 
La Seyne-USBPA

#2854

Et n'oublions pas d'aller soutenir les Sabistes aux Vennes dimanche à 15h! laugh

#2855

Dans la VDA du jour, léger coup de colère des dirigeants qui trouvent que la CGT manque de voix! Jacques PAGE a même un peu charrié les Ultras! Ils espèrent un fort soutien populaire pour les phases finales.

#2856

Pages peut se poser la question, pourquoi il y a moins d'ambiance, c'est peut etre qu'il y a moins de monde, c'est peut etre qu'il n'y aplus de match de la B avant, c'est peut etre que le samedi soir à 19 ou 21 h c'est pas terrible.

Fédérale 1