Il est clair que le club repose beaucoup sur le mécéna du Président ……… trop peut être .
Mais c'est le cas de beaucoup de club qui souvent dépende d'un gros voir très gros partenaire et souvent des enseignes connues au niveau Nationale voir internationale (UPSA, OPODO, PEUGEOT, AIRBUS, LAGARDERE, etc etc) ce qui permet de reduire les risques d'abandon de sponsoring mais qui reste toutefois alatoire et mouvent au grès de la santé de ces mêmes enseignes.
Pour l'USON, il y a encore beaucoup de travail a faire surement trop d'investissements pour un seul homme donc, il va falloir patienter.
Les salles de musculations , d'entrainements sont tèrs exigues, voir désuètes, obsolétes.
L'Académie n'est pas encore a son top et ne pourra évoluer beaucoup plus sans de profonds aménagements et de gros résultats sportifs.(d'ou le besoin de ne pas diviser les “potentiels” ressources sur toutes la région mais plutôt de les concentrer pour devenir pleinement efficiente.
Chez les jeunes et les féminines, même constat,il va falloir pérenniser ces structures et augmenter le nombre de “participants” dans ces catégories pour la aussi passer un palier.
Je dirais que des clubs comme Toulouse, Clermond, Paris ( les deux clubs) , et maintenant Lyon qui a ecrassé la concurence locale ont des facilités, et du fait des bassins industriels en place ont accés a un sponsoring presque inépuisable.
Aix se trouve dans une bonne position u niveau du bassin industriel et humain, le nombre d'entreprises et de jeunes de son agglo et largement supérieur aux autres clubs, Vannes a moins de potentiel “humain” disponible mais des clubs commencent a se montrer (Rennes, Nantes,Plouzané 😉, St malo)
Pour Nevers, il ne faut pas se voiler la face, il n'y a pas de structure industrielle assez “concéquente" pour relever le gant, a part la sociéte Aperam d'Imphy, et peut être le groupe Monnet à Sougy .
Si le groupe Eiffage ou Bouygues rentraient dans la danse alors oui, peut être que la………… et puis, la rgion serait surement obligé de suivre 😉