Pour les quelques clubs qui s'ennuyaient à mourir en Fédérale 1, on a créé deux divisions supplémentaires. Deux divisions créées sur une précipitation fédérale suite à la première vague de covid. Précipitation qui m'a fait arrêter mes fonctions au sein de la fédération puisque certains dirigeants ont fait abstraction de l'organisation et se sont imposés d'un seul coup d'un seul spécialistes du rugby amateur.
Rappelons que la création de cette fameuse division Nationale s'est faite pour corriger le trop plein de cadeaux de montées mais pas descentes dans les divisions.
L'année d'après, deuxième vague et seule la Nationale peut continuer à jouer. Pour certains clubs de Fédérale 1, c'est trop d'injustice et on demande une deuxième division Nationale afin de pouvoir être mieux considérer par les instances en cas de nouveaux confinements. La Nationale 2 est créée.
Et donc, on nous vend la Nationale comme étant la division absolue qui prépare à la Pro D2. Au bout d'un an, Narbonne et Bourg-en-Bresse qui étaient les premiers promus redescendent en Nationale.
Pourquoi ça marche pas ?
Peut-être que le problème ne vient pas d'une division nouvelle, mais plus du calendrier en lui-même. En 2016, les promus ont été connus le 14 mai alors que la phase préliminaire de Pro D2 s'achevait le 22 mai. La saison d'après Vannes et Soyaux-angoulême ont terminé onzième et douzième.
Malheureusement, la poule d'accession avait été mise en place et nous allions revenir à des promotions connues trop tardivement.
Il faut donc comprendre que Massy et Soyaux-Angoulême partent avec un gros boulet attaché et qui correspond aux joueurs qui sont encore sur le marché et qui n'ont pas encore signé dans des clubs professionnels. Bref, les meilleurs sont déjà pris