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Fédérale 2

Strasbourg (Strossburi) 2018/2019

#71

YBGUR a écrit :

Ou va le talonneur PRETORIUS  ?

A Montlluçon lol

#72

Ah oui, comme c'est marrant  .......!!!!!

#73

à mon avis, c'est foutu!

est-ce que le club peut demander à roth de rendre des comptes?

#74

Article des DNA qui date du 18 Juillet...


(mais surement réservé aux abonnés...)

Voici le texte...

Rugby - RC Strasbourg : Christian Loth réplique et n’abdique pas, mais…
Un été instable
Désigné responsable par ses successeurs à la présidence du RC Strasbourg du bilan financier ayant mené au choix de repartir en Fédérale 2, Christian Loth étale sa vérité trois mois après sa démission. Il a émis une solution mais essuie une fin de non-recevoir.

La relation de confiance semble définitivement rompue.

Jean-Luc Dubois, Pierre Sourbès, les co-présidents, et le comité directeur ont tranché fin juin. Pour éviter le pire, le RC Strasbourg dit non à la Fédérale 1 et s’engage en Fédérale 2, le temps de remettre les comptes à flot. Leur principal reproche fait à Christian Loth est de ne pas avoir tenu ses engagements ( DNA du 30 juin ).

Aujourd’hui, ce dernier, qui a tout de même investi plusieurs centaines de milliers d’euros en cinq ans, veut faire comprendre comment on en est arrivé là.

« Les causes sont multiples. Structurelles avec, depuis toujours, la fragilité du budget dont 60 % relèvent du mécénat. Or, la somme annoncée au départ par un mécène n’est pas forcément la même à l’arrivée. Puis conjoncturelles avec une succession d’événements allant tous dans le mauvais sens : la fin des emplois aidés, lesquels représentaient 180 000 euros sur l’exercice précédent, compensés à hauteur de 70 000 euros seulement ; la réduction de voilure de cinq gros partenaires engendrant une perte de 250 000 euros ; les charges prud’hommales de l’ordre de 107 000 euros liées aux affaires Braem et Jursik datant de 2013. »

« Je n’ai pas tenu mes engagements car d’autres n’ont pas tenu les leurs »

Telle était la situation au cœur du printemps. « À un moment donné, il faut compenser, poursuit Christian Loth. Dans un comité, l’effort financier doit être partagé. Il y en avait pour 210 000 euros. Les frictions ont commencé quand je me suis aperçu que je serai le seul à mettre sur la table. J’ai dit non, le bureau directeur a refusé de l’acter. Dès lors, j’ai pris ma décision, j’ai démissionné. Mais tout en précisant que je souhaitais rester au comité directeur. »

Le club a préféré faire table rase. « On m’a écarté du comité directeur, sans même m’en informer. Conséquence immédiate, ils faisaient une croix sur mes apports. On me reproche de ne pas avoir tenu mes engagements. C’est vrai, car d’autres n’ont pas tenu les leurs. Et contrairement à eux, je suis toujours disposé à respecter les miens. »

La solution de la SASP
Le 2 juillet, Christian Loth a forcé les portes du comité directeur pour étayer le plan qui, selon lui, réglerait tout et aurait permis au RCS de rester en Fédérale 1 et de voir beaucoup plus loin, s’il était toujours aux affaires.

« La solution ? La scission de l’association et la création d’une SASP (Société anonyme sportive professionnelle, NDLR). Celle-ci remédierait à la recapitalisation et assurerait un fonds de roulement qui vous met à l’abri des incertitudes d’une saison à l’autre. »

L’ex-président s’est voulu résolument offensif. « Pour cette capitalisation, j’ai trouvé les investisseurs et apporté les preuves que l’argent est là. Il est provisionné sur un compte. Il y en avait pour 600 000 euros pour la SASP, 300 000 pour l’association. J’ai montré que tous les éléments étaient là pour respecter les engagements dès le lendemain. La proposition a été refusée car je l’ai conditionnée à des démissions. C’est que beaucoup de membres présents ont compris que ce serait la fin du système selon lequel les uns paient, les autres décident. Dans une SASP, les règles sont claires. Les investisseurs mettent de l’argent et nomment un président. »

Christian Loth, pourtant, y croit toujours. « Si la SASP se crée, avec trois ou quatre investisseurs, le club va rebondir et il y aura des résultats. Car les compétences sont là, des gens extraordinaires, à commencer par le manager général Julien Chastanet, un homme remarquable. Je ne suis pas dans la polémique, mais dans le rétablissement des faits et les solutions à trouver. Je n’ai pas envie que ça s’arrête. Peut-être même n’est-on qu’au début de quelque chose. »

Trop de doutes,
confiance rompue
Sauf que selon Jean-Luc Dubois, entre le RCS et Christian Loth, on a atteint une situation de non-retour. À l’analyse des comptes, sans en dire plus pour l’instant, le club a trop de doutes sur la véracité des engagements. Il serait en possession d’éléments rompant toute confiance avec Christian Loth. « Le 2 juillet, il nous a montré ce qu’il voulait bien montrer. Cela fait plus d’un an qu’il nous parle de cette SASP. Pourquoi ne pas l’avoir déjà créée ? On n’en serait pas là. Nous avons d’autres chats à fouetter pour ne pas perdre du temps avec de telles considérations. »

Le club en est encore à établir des comptes précis. « À ce stade, on veut savoir où on en est, même pas où on va, lâche Jean-Luc Dubois. Car le commissaire aux comptes et le comptable en découvrent encore. »

Plus généralement, le co-président se veut néanmoins optimiste. « Des joueurs restent, d’autres arrivent. La reconstruction de l’équipe se poursuit. Elle sera compétitive, je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet. Julien Chastanet est engagé à fond sur le dossier et est totalement en phase avec nous. Sans quoi, il ne serait plus là. Il n’a pas manqué de propositions, certaines fort intéressantes. Nous procéderons à l’assemblée générale en septembre où nous présenterons de nouveaux partenaires. Si l’un d’eux est prêt à insuffler une nouvelle dynamique, nous l’accompagnerons avec plaisir. »

Sous-entendu, en mettant fin à l’intérim à la présidence, comme annoncé mi-juin. D’ici là, l’été s’annonce toutefois encore bien chaud.

Dernière modification par Baleine (01/08/2018 11:10:01)

#75

Donnovan a écrit :
Baleine a écrit :

Article des DNA qui date du 18 Juillet...


(mais surement réservé aux abonnés...)

Voici le texte...

Rugby - RC Strasbourg : Christian Loth réplique et n’abdique pas, mais…
Un été instable
Désigné responsable par ses successeurs à la présidence du RC Strasbourg du bilan financier ayant mené au choix de repartir en Fédérale 2, Christian Loth étale sa vérité trois mois après sa démission. Il a émis une solution mais essuie une fin de non-recevoir.

La relation de confiance semble définitivement rompue.

Jean-Luc Dubois, Pierre Sourbès, les co-présidents, et le comité directeur ont tranché fin juin. Pour éviter le pire, le RC Strasbourg dit non à la Fédérale 1 et s’engage en Fédérale 2, le temps de remettre les comptes à flot. Leur principal reproche fait à Christian Loth est de ne pas avoir tenu ses engagements ( DNA du 30 juin ).

Aujourd’hui, ce dernier, qui a tout de même investi plusieurs centaines de milliers d’euros en cinq ans, veut faire comprendre comment on en est arrivé là.

« Les causes sont multiples. Structurelles avec, depuis toujours, la fragilité du budget dont 60 % relèvent du mécénat. Or, la somme annoncée au départ par un mécène n’est pas forcément la même à l’arrivée. Puis conjoncturelles avec une succession d’événements allant tous dans le mauvais sens : la fin des emplois aidés, lesquels représentaient 180 000 euros sur l’exercice précédent, compensés à hauteur de 70 000 euros seulement ; la réduction de voilure de cinq gros partenaires engendrant une perte de 250 000 euros ; les charges prud’hommales de l’ordre de 107 000 euros liées aux affaires Braem et Jursik datant de 2013. »

« Je n’ai pas tenu mes engagements car d’autres n’ont pas tenu les leurs »

Telle était la situation au cœur du printemps. « À un moment donné, il faut compenser, poursuit Christian Loth. Dans un comité, l’effort financier doit être partagé. Il y en avait pour 210 000 euros. Les frictions ont commencé quand je me suis aperçu que je serai le seul à mettre sur la table. J’ai dit non, le bureau directeur a refusé de l’acter. Dès lors, j’ai pris ma décision, j’ai démissionné. Mais tout en précisant que je souhaitais rester au comité directeur. »

Le club a préféré faire table rase. « On m’a écarté du comité directeur, sans même m’en informer. Conséquence immédiate, ils faisaient une croix sur mes apports. On me reproche de ne pas avoir tenu mes engagements. C’est vrai, car d’autres n’ont pas tenu les leurs. Et contrairement à eux, je suis toujours disposé à respecter les miens. »

La solution de la SASP
Le 2 juillet, Christian Loth a forcé les portes du comité directeur pour étayer le plan qui, selon lui, réglerait tout et aurait permis au RCS de rester en Fédérale 1 et de voir beaucoup plus loin, s’il était toujours aux affaires.

« La solution ? La scission de l’association et la création d’une SASP (Société anonyme sportive professionnelle, NDLR). Celle-ci remédierait à la recapitalisation et assurerait un fonds de roulement qui vous met à l’abri des incertitudes d’une saison à l’autre. »

L’ex-président s’est voulu résolument offensif. « Pour cette capitalisation, j’ai trouvé les investisseurs et apporté les preuves que l’argent est là. Il est provisionné sur un compte. Il y en avait pour 600 000 euros pour la SASP, 300 000 pour l’association. J’ai montré que tous les éléments étaient là pour respecter les engagements dès le lendemain. La proposition a été refusée car je l’ai conditionnée à des démissions. C’est que beaucoup de membres présents ont compris que ce serait la fin du système selon lequel les uns paient, les autres décident. Dans une SASP, les règles sont claires. Les investisseurs mettent de l’argent et nomment un président. »

Christian Loth, pourtant, y croit toujours. « Si la SASP se crée, avec trois ou quatre investisseurs, le club va rebondir et il y aura des résultats. Car les compétences sont là, des gens extraordinaires, à commencer par le manager général Julien Chastanet, un homme remarquable. Je ne suis pas dans la polémique, mais dans le rétablissement des faits et les solutions à trouver. Je n’ai pas envie que ça s’arrête. Peut-être même n’est-on qu’au début de quelque chose. »

Trop de doutes,
confiance rompue
Sauf que selon Jean-Luc Dubois, entre le RCS et Christian Loth, on a atteint une situation de non-retour. À l’analyse des comptes, sans en dire plus pour l’instant, le club a trop de doutes sur la véracité des engagements. Il serait en possession d’éléments rompant toute confiance avec Christian Loth. « Le 2 juillet, il nous a montré ce qu’il voulait bien montrer. Cela fait plus d’un an qu’il nous parle de cette SASP. Pourquoi ne pas l’avoir déjà créée ? On n’en serait pas là. Nous avons d’autres chats à fouetter pour ne pas perdre du temps avec de telles considérations. »

Le club en est encore à établir des comptes précis. « À ce stade, on veut savoir où on en est, même pas où on va, lâche Jean-Luc Dubois. Car le commissaire aux comptes et le comptable en découvrent encore. »

Plus généralement, le co-président se veut néanmoins optimiste. « Des joueurs restent, d’autres arrivent. La reconstruction de l’équipe se poursuit. Elle sera compétitive, je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet. Julien Chastanet est engagé à fond sur le dossier et est totalement en phase avec nous. Sans quoi, il ne serait plus là. Il n’a pas manqué de propositions, certaines fort intéressantes. Nous procéderons à l’assemblée générale en septembre où nous présenterons de nouveaux partenaires. Si l’un d’eux est prêt à insuffler une nouvelle dynamique, nous l’accompagnerons avec plaisir. »

Sous-entendu, en mettant fin à l’intérim à la présidence, comme annoncé mi-juin. D’ici là, l’été s’annonce toutefois encore bien chaud.

C'est un article révélateur sur la difficulté de faire vivre le sport dans une ville pourtant une grande ville. Ce qui est choquant C'est " ils n'ont pas tenu leur engagement donc moi n'on plus" les égaux passent ils avant le club d'une ville, d'un département, d'une région ?

Dommage pour le Rugby a Strasbourg. 

"égaux" égalent "égos" ?

#76

mauvaiz introduction a écrit :
Donnovan a écrit :
Baleine a écrit :

Article des DNA qui date du 18 Juillet...


(mais surement réservé aux abonnés...)

Voici le texte...

Rugby - RC Strasbourg : Christian Loth réplique et n’abdique pas, mais…
Un été instable
Désigné responsable par ses successeurs à la présidence du RC Strasbourg du bilan financier ayant mené au choix de repartir en Fédérale 2, Christian Loth étale sa vérité trois mois après sa démission. Il a émis une solution mais essuie une fin de non-recevoir.

La relation de confiance semble définitivement rompue.

Jean-Luc Dubois, Pierre Sourbès, les co-présidents, et le comité directeur ont tranché fin juin. Pour éviter le pire, le RC Strasbourg dit non à la Fédérale 1 et s’engage en Fédérale 2, le temps de remettre les comptes à flot. Leur principal reproche fait à Christian Loth est de ne pas avoir tenu ses engagements ( DNA du 30 juin ).

Aujourd’hui, ce dernier, qui a tout de même investi plusieurs centaines de milliers d’euros en cinq ans, veut faire comprendre comment on en est arrivé là.

« Les causes sont multiples. Structurelles avec, depuis toujours, la fragilité du budget dont 60 % relèvent du mécénat. Or, la somme annoncée au départ par un mécène n’est pas forcément la même à l’arrivée. Puis conjoncturelles avec une succession d’événements allant tous dans le mauvais sens : la fin des emplois aidés, lesquels représentaient 180 000 euros sur l’exercice précédent, compensés à hauteur de 70 000 euros seulement ; la réduction de voilure de cinq gros partenaires engendrant une perte de 250 000 euros ; les charges prud’hommales de l’ordre de 107 000 euros liées aux affaires Braem et Jursik datant de 2013. »

« Je n’ai pas tenu mes engagements car d’autres n’ont pas tenu les leurs »

Telle était la situation au cœur du printemps. « À un moment donné, il faut compenser, poursuit Christian Loth. Dans un comité, l’effort financier doit être partagé. Il y en avait pour 210 000 euros. Les frictions ont commencé quand je me suis aperçu que je serai le seul à mettre sur la table. J’ai dit non, le bureau directeur a refusé de l’acter. Dès lors, j’ai pris ma décision, j’ai démissionné. Mais tout en précisant que je souhaitais rester au comité directeur. »

Le club a préféré faire table rase. « On m’a écarté du comité directeur, sans même m’en informer. Conséquence immédiate, ils faisaient une croix sur mes apports. On me reproche de ne pas avoir tenu mes engagements. C’est vrai, car d’autres n’ont pas tenu les leurs. Et contrairement à eux, je suis toujours disposé à respecter les miens. »

La solution de la SASP
Le 2 juillet, Christian Loth a forcé les portes du comité directeur pour étayer le plan qui, selon lui, réglerait tout et aurait permis au RCS de rester en Fédérale 1 et de voir beaucoup plus loin, s’il était toujours aux affaires.

« La solution ? La scission de l’association et la création d’une SASP (Société anonyme sportive professionnelle, NDLR). Celle-ci remédierait à la recapitalisation et assurerait un fonds de roulement qui vous met à l’abri des incertitudes d’une saison à l’autre. »

L’ex-président s’est voulu résolument offensif. « Pour cette capitalisation, j’ai trouvé les investisseurs et apporté les preuves que l’argent est là. Il est provisionné sur un compte. Il y en avait pour 600 000 euros pour la SASP, 300 000 pour l’association. J’ai montré que tous les éléments étaient là pour respecter les engagements dès le lendemain. La proposition a été refusée car je l’ai conditionnée à des démissions. C’est que beaucoup de membres présents ont compris que ce serait la fin du système selon lequel les uns paient, les autres décident. Dans une SASP, les règles sont claires. Les investisseurs mettent de l’argent et nomment un président. »

Christian Loth, pourtant, y croit toujours. « Si la SASP se crée, avec trois ou quatre investisseurs, le club va rebondir et il y aura des résultats. Car les compétences sont là, des gens extraordinaires, à commencer par le manager général Julien Chastanet, un homme remarquable. Je ne suis pas dans la polémique, mais dans le rétablissement des faits et les solutions à trouver. Je n’ai pas envie que ça s’arrête. Peut-être même n’est-on qu’au début de quelque chose. »

Trop de doutes,
confiance rompue
Sauf que selon Jean-Luc Dubois, entre le RCS et Christian Loth, on a atteint une situation de non-retour. À l’analyse des comptes, sans en dire plus pour l’instant, le club a trop de doutes sur la véracité des engagements. Il serait en possession d’éléments rompant toute confiance avec Christian Loth. « Le 2 juillet, il nous a montré ce qu’il voulait bien montrer. Cela fait plus d’un an qu’il nous parle de cette SASP. Pourquoi ne pas l’avoir déjà créée ? On n’en serait pas là. Nous avons d’autres chats à fouetter pour ne pas perdre du temps avec de telles considérations. »

Le club en est encore à établir des comptes précis. « À ce stade, on veut savoir où on en est, même pas où on va, lâche Jean-Luc Dubois. Car le commissaire aux comptes et le comptable en découvrent encore. »

Plus généralement, le co-président se veut néanmoins optimiste. « Des joueurs restent, d’autres arrivent. La reconstruction de l’équipe se poursuit. Elle sera compétitive, je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet. Julien Chastanet est engagé à fond sur le dossier et est totalement en phase avec nous. Sans quoi, il ne serait plus là. Il n’a pas manqué de propositions, certaines fort intéressantes. Nous procéderons à l’assemblée générale en septembre où nous présenterons de nouveaux partenaires. Si l’un d’eux est prêt à insuffler une nouvelle dynamique, nous l’accompagnerons avec plaisir. »

Sous-entendu, en mettant fin à l’intérim à la présidence, comme annoncé mi-juin. D’ici là, l’été s’annonce toutefois encore bien chaud.

C'est un article révélateur sur la difficulté de faire vivre le sport dans une ville pourtant une grande ville. Ce qui est choquant C'est " ils n'ont pas tenu leur engagement donc moi n'on plus" les égaux passent ils avant le club d'une ville, d'un département, d'une région ?

Dommage pour le Rugby a Strasbourg. 

"égaux" égalent "égos" ?

On s'en branle...

Ce qui compte C'est le rugby à Strasbourg .

Ça va comme ça ?

#77

Boussole01 a écrit :
Boussole01 a écrit :
claudius2539 a écrit :

Si Strasbourg ne repart pas en fed 2, je pense qu'il est trop tard pour un remplacement et donc ce serait une poule de 11 équipes.

Mais bon, on en est pas encore là, même si les Alsaciens semblent plus que pessimistes devant la situation.

je leur souhaite que ce ne soit pas le cas et qu'ils pourront rebondir 

pas bon pour le rugby tout ca... déja que l'on perd des licenciés, situation qui va s'amplifier avec le succès footballistique français actuel

Perd des licenciés .. à cause du foot  ??? moi je dirais plutot à cause de Laporte ( + simon // brunel)  et de son attitude tout à fait à l'opposé des valeurs du rugby. J'y rajoute les affaires , les commotions , le rugby de bourins , une implantation géographique sur 2/3 du territoire et la quasi impossibilité à des joueurs français de percer . Rien de tel pour faire fuir les joueurs , puis les sponsors puis les spectateurs.

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Benjamin Franklin.

#78

Je comprends les arguments avancés par votre ex président qui d'après ce que j'ai compris  amenait une grosse partie du budget et ce sont ceux qui n'apportait peu financièrement qui voulaient commander. Allez voir à Nevers ou il y a un patron qui dirige le club avec autorité car c'est lui qui finance, cela n'empêche pas qu'une bonne ambiance s'installé. Mais il est normal que celui qui finance dirige aussi. Soit on accepte l'arrivée d'un financier et dans ce cas c'est lui qui dirige ou soit on en veut pas et on se démerde

#79

Bonsoir,

Le club communique un peu dans le Midol de demain. La situation est très fragile: liquidation ou poursuite du projet en F2 avec une réponse le 20 août. On parle de dix joueurs conservés, mais rien de sûr ! Les joueurs "conservés" ont sûrement un plan B wink

#80

vieuxlille a écrit :
Boussole01 a écrit :
Boussole01 a écrit :

je leur souhaite que ce ne soit pas le cas et qu'ils pourront rebondir 

pas bon pour le rugby tout ca... déja que l'on perd des licenciés, situation qui va s'amplifier avec le succès footballistique français actuel

Perd des licenciés .. à cause du foot  ??? moi je dirais plutot à cause de Laporte ( + simon // brunel)  et de son attitude tout à fait à l'opposé des valeurs du rugby. J'y rajoute les affaires , les commotions , le rugby de bourins , une implantation géographique sur 2/3 du territoire et la quasi impossibilité à des joueurs français de percer . Rien de tel pour faire fuir les joueurs , puis les sponsors puis les spectateurs.

 

Tu peux pas dire n'importe quoi.

Je ne vois pas en quoi Laporte et son équipe soient responsable du nombre de commotions? Explique moi? Ni même sur le rugby "bourrin" comme tu dis? Ce ne sont pas eux qui décident du recrutement, des compo et du système mis en place par les équipes de Top14 ou ProD2.

Concernant l'implantation géographique ils ne sont pas non plus responsable de la mauvaise gestion de Strasbourg, Lille, Nice, Chalon, Marseille et/ou Montluçon. Je ne pense pas que la fédération freine la réussite d'une équipe et encore moins parce qu elle ne fait pas parti du sud, sud-ouest ou région parisienne.

Ne vous trompez pas, vous savez très bien qui sont les responsables de vos échecs, tirez en des conclusions et essayez d'avancer en vous fixant des objectifs avec humilité. 

Ils ont réussi à vous faire croire que vous avez un club pro et que vous méritez la ProD2 alors que vous n'avez pas les bases. Aujourd'hui vous pleurez comme si on vous avait volé qqch mais vous vous êtes planté tout seul sans l'aide de personnes.

Bon courage pour la suite et je souhaite à l'alsace d'avoir un club au moins en élite amateur.

#81

Ce qui est un peu fatiguant dans ce débat, c'est d''entendre parler uniquement du côté financier et administratif : le président, les sponsors, la région; l'Alsace qui mérite un club de rugby de haut niveau... Personne ne se pose la question des 30 ou 40 mecs qui ont été laissés sur le carreau du fait de l'ambition démesurée de certain et du décallage avéré entre le message du club (pro D2 ou poule élite) et  la réalité financière.

Certe il s'agit de joueurs qui ont un statut professionnel mais qui aujourd'hui doivent faire face à des arriérés de salaire, qui se sont malgré tout engagé dans un projet sportif et qui ont du se débrouiller lorsque les difficultés ont été annoncées de manière officiels (Juillet alors que les recrutements des équipes étaient pratiquement bouclés)

Vous allez répondre que c'est le rugby pro et que se sont les aléa du sportif; mais il n'empêche que ces personnes qui prennent la direction de clubs, avec la seul ambition d'assouvir un fantasme personne,l ne sont jamais tenues responsables des conséquences de leur démesure sur les joueurs / staff / bénévoles.

Il y a des mecs, à ce niveau, pour qui le rugby permet de manger et de payer les factures; et quoi qu'on en dise personne ne s'en souci.

je vous prie de bien vouloir m'excuser pour ce petit apparté, mais je trouve désolant que l'aspect humain qui est exhibé comme "valeur du rugby" soit totalement oublié dans ces situations ( que ce soit pour le club de strasbourg ou pour les autres).

 

#82

Ce qui est un peu fatiguant dans ce débat, c'est d''entendre parler uniquement du côté financier et administratif : le président, les sponsors, la région; l'Alsace qui mérite un club de rugby de haut niveau... Personne ne se pose la question des 30 ou 40 mecs qui ont été laissés sur le carreau du fait de l'ambition démesurée de certain et du décallage avéré entre le message du club (pro D2 ou poule élite) et  la réalité financière.

Certe il s'agit de joueurs qui ont un statut professionnel mais qui aujourd'hui doivent faire face à des arriérés de salaire, qui se sont malgré tout engagé dans un projet sportif et qui ont du se débrouiller lorsque les difficultés ont été annoncées de manière officiels (Juillet alors que les recrutements des équipes étaient pratiquement bouclés)

Vous allez répondre que c'est le rugby pro et que se sont les aléa du sportif; mais il n'empêche que ces personnes qui prennent la direction de clubs, avec la seul ambition d'assouvir un fantasme personne,l ne sont jamais tenues responsables des conséquences de leur démesure sur les joueurs / staff / bénévoles.

Il y a des mecs, à ce niveau, pour qui le rugby permet de manger et de payer les factures; et quoi qu'on en dise personne ne s'en souci.

je vous prie de bien vouloir m'excuser pour ce petit apparté, mais je trouve désolant que l'aspect humain qui est exhibé comme "valeur du rugby" soit totalement oublié dans ces situations ( que ce soit pour le club de strasbourg ou pour les autres).

#83

stopàlamauvaiselangue0 a écrit :

Ce qui est un peu fatiguant dans ce débat, c'est d''entendre parler uniquement du côté financier et administratif : le président, les sponsors, la région; l'Alsace qui mérite un club de rugby de haut niveau... Personne ne se pose la question des 30 ou 40 mecs qui ont été laissés sur le carreau du fait de l'ambition démesurée de certain et du décallage avéré entre le message du club (pro D2 ou poule élite) et  la réalité financière.

Certe il s'agit de joueurs qui ont un statut professionnel mais qui aujourd'hui doivent faire face à des arriérés de salaire, qui se sont malgré tout engagé dans un projet sportif et qui ont du se débrouiller lorsque les difficultés ont été annoncées de manière officiels (Juillet alors que les recrutements des équipes étaient pratiquement bouclés)

Vous allez répondre que c'est le rugby pro et que se sont les aléa du sportif; mais il n'empêche que ces personnes qui prennent la direction de clubs, avec la seul ambition d'assouvir un fantasme personne,l ne sont jamais tenues responsables des conséquences de leur démesure sur les joueurs / staff / bénévoles.

Il y a des mecs, à ce niveau, pour qui le rugby permet de manger et de payer les factures; et quoi qu'on en dise personne ne s'en souci.

je vous prie de bien vouloir m'excuser pour ce petit apparté, mais je trouve désolant que l'aspect humain qui est exhibé comme "valeur du rugby" soit totalement oublié dans ces situations ( que ce soit pour le club de strasbourg ou pour les autres).

En total accord avec ces propos

 

#84

+1 pour moi aussi , les joueurs (même si ils étaient pro) ne méritent pas de ne pas avoir de salaire ni même d'être informé sur le tard.

On va se rencontrer cette saison, j'espère voir un club debout avec de bons gars.

Je suis un ancien du comité alsace lorraine et j'ai fais les sélection juniors avec quelques gars de strasbourg de l'époque, on avait un bon groupe ( à l'époque c'était Tarusson le coach )!

Faut surtout pas s'en faire car quoi qu'il puisse arriver on ne nous fera jamais un 2éme trou du cul !!!!  big_smile big_smile

Fédérale 2