fanticmotor a écrit :

Mais même si mission impossible mathématiquement ces possible mais il ne faut rêver Aller Massy bon dimanche sous le soleil

Le rêve n'est qu'illusion, c'est là le propre de cette saison.

Je crains que ceux qui rêvent encore au maintien ne s'illusionnent, en effet. C'est bien dommage pour les joueurs, qui auraient mérité mieux.

ANAEMM a écrit :

fanticmotor a écrit :

Mais même si mission impossible mathématiquement ces possible mais il ne faut rêver Aller Massy bon dimanche sous le soleil

Le rêve n'est qu'illusion, c'est là le propre de cette saison.

Pierre9 a écrit :

ANAEMM a écrit :

Quelle déception ! Y avait-il un sage sur ce banc ce soir ? Comment peut-on alors qu'il s'agit d'une rencontre cruciale,que l'on dispose d'une ligne de 3/4 des plus expérimentales,que l'on sait que le combat des avants sera essentiel ,que l'on affiche dés l'entame du match cette disposition,que l'on méne 14-3 et que tout d'un coup, sans que rien ni personne ne le demande mais seulement parce que l'horloge le suggére,on change les combattants. Ce soir il fallait du lourd pour gagner. On a parlé dans ce forum de mourir debout et bien c'est ce soir qu'il le fallait et ceux qui étaient sur le pré menant 14-3 étaient prêts à le faire,parce que à ce moment précis de la saison, crevés mais galvanisés par l'importance de ce qu'ils accomplissaient,ils auraient eu la ressource de tenir. cela s'appelle de la gestion de ressource humaine. Ce soir de coaching il ne devait être question, d'ailleurs le banc d'Aurillac l'a bien compris en n'incorporant progressivement ses remplaçants, évitant ainsi toute perte soudaine d'homogénéité,et prenant ainsi le pas.

Je partage totalement tes commentaires. C'est à n'y rien comprendre cette formation d'équipe derrière et ce "coaching" (?). Et alors quand tu vois BAKI sortir alors que nous allons disputer une mêlée à 10 mètres de notre ligne, c'est évident que c'est une énorme connerie !!! Si AURILLAC s'est mis à bien jouer c'est essentiellement à cause de ces changements "mécaniques" qui nous ont fait baisser notre niveau de jeu et notre niveau d'agressivité (positive) qui a laissé de la place à nos adversaires. Ils ont alors commencer à s'installer et à retrouver leur rugby. Et derrière, comment expliquer que pendant 60' où nous dominons largement devant, les 3/4 ne développent qu'un petit jeu étriqué, un jeu de fermeture ! (NB : en plus, les centres titulaires d'AURILLAC étaient blessés !!!). Ce match est une nouvelle illustration d'un management mené à contre courant du championnat de PRO D2 (cf les erreurs du début de saison). Quelle déception car l'équipe d'AURILLAC d'hier était loin d'être performante et elle était tout à fait prenable.

rien compris au coatching ... Baky qui sors et pourquoi sortir la première ligne ou au pire la faire rerentrer à 10 minutes de la fin... on passe d'une domination en mêlée à se faire sanctionner 2 fois donc le 8 d'Aurillac peut ensuite faire des départs de qualité ou le demi de mêlée est plus tranquille... franchement du haut des tribunes j'avais les boules... javais l'impression qu'on était à un match de gala pour faire jouer tout le monde voilà le dernier match de l'année sans enjeux... Voulions nous encore le maintien ? ... quand aux deux remplacants en 1ere ligne, très sympathiques au demeurant, pas le niveau de proD2 du tout pour ce type de match... Comme sur leur défense sur notre ligne avec les mains... vraiment les boules... heureusement les espoirs m'ont redonné du moral ... ouf bref les boules tout de même surtout que le meme jour j'ai été à un tournoi d'écoles de rugby des clubs de Paris et bien par les Responsables des écoles de rugby de tous les clubs de Paris, Massy en a pris plein la gueule quelle haine... donc Samedi vraiment une journée de merde... on va avoir l'air fin pour le dernier match à Béziers....

Au delà du coaching, il y a également la compostion de l'équipe car il fallait mettre du jeu depuis plusieurs matchs, aller chercher les points qui nous manquent aujourd'hui. Contre PAU nous avons surtout eu "la chance" de la sortie des 2 centres (percussion de BAKI) qui détraqué cette impressionnante "machine Paloise" (cf l'article du MIDOL) et qui nous a permis de revenir au mental. Cette fin de match était en effet magnifique ! Par contre que de points perdus depuis le début de la saison sur des problèmes tels que les stratégies de jeu, les compositions d'équipe, les changements réguliers de joueurs même à des postes stratégiques, le coaching, ... Espérons que cela servira pour l'avenir.

allez Massy a écrit :

Comme le rappelle le journaliste, vérité du jour ne fait pas celle du lendemain... Le coaching avait permis de renverser la montagne paloise (qui semblait - a priori - plus élevée que la cantalienne), il nous aura fait baisser de niveau contre Aurillac. On peut toujours faire le constat justifié des conséquences des remplacements, reste que c'est plus facile pour nous dans les tribunes, et encore plus après le match ! J'ai ouï dire que plusieurs joueurs du pack disaient être déjà cuits à la mi-temps. Et puis, pour moi, l'élément déclencheur de la domination aurillacoise n'est pas tant le coaching massif et simultané que le carton jaune récolté par César qui a permis aux Cantaliens de prendre le dessus grâce à un surcroît de puissance. C'était peut-être trop difficile à 7 devant de ne pas être dominés. Et une fois le mécanisme enclenché, c'est difficile de redresser la barre face à un collectif adverse bien huilé et motivé. La déception est forte dans la mesure où cette fois la mission impossible mais jouable devient toujours plus impossible. Cependant, si on regarde le déroulement de la partie, c'est peut-être aussi plus pour n'avoir pas su enfoncer le clou par les lignes arrières en première mi-temps qu'on se retrouve dans cette situation. Et si on peut vraiment être satisfait de la bonne tenue des arrières alignés samedi (très belle rentrée de Thomas Girard et bonne tenue d'Aubin Mendes à ce poste inhabituel pour lui de trois-quart aile), on peut penser que si on avait pu aligner au centre Jordi Rougé et Robbie Johnston, voire Antoine Ratinaud, et que Jean-Baptiste Di Martino ne relevait pas de blessure, on aurait eu d'autres arguments pour plus concrétiser nos temps forts. C'est probablement en sachant que les trois-quarts partaient avec un handicap (sans manquer de respect aux joueurs alignés) que le staff a fait le pari de renouveler 6 joueurs de devant sur 8 en cours de partie, hélas pour le résultat décevant que l'on sait.

Je pense vraiment que c'est le coaching qui est l'élément déterminant de la baisse du niveau de jeu de notre équipe. Combien de fois avons-nous vu des équipes qui se retrouvent à 14 et dont les forces des joueurs sur le terrain se multiplient pour tenir bon ? Dans les lignes arrières, tu a oublié Aristide Barraud qui a fait un très gros match en Espoirs (et qui sait mettre du jeu), Julien Champagne au centre qui a également très bien joué hier en Espoirs et Benoit Bonetti qui a de grandes qualités de relanceur à l'arrière.

allez Massy a écrit :

Comme le rappelle le journaliste, vérité du jour ne fait pas celle du lendemain... Le coaching avait permis de renverser la montagne paloise (qui semblait - a priori - plus élevée que la cantalienne), il nous aura fait baisser de niveau contre Aurillac. On peut toujours faire le constat justifié des conséquences des remplacements, reste que c'est plus facile pour nous dans les tribunes, et encore plus après le match ! J'ai ouï dire que plusieurs joueurs du pack disaient être déjà cuits à la mi-temps. Et puis, pour moi, l'élément déclencheur de la domination aurillacoise n'est pas tant le coaching massif et simultané que le carton jaune récolté par César qui a permis aux Cantaliens de prendre le dessus grâce à un surcroît de puissance. C'était peut-être trop difficile à 7 devant de ne pas être dominés. Et une fois le mécanisme enclenché, c'est difficile de redresser la barre face à un collectif adverse bien huilé et motivé. La déception est forte dans la mesure où cette fois la mission impossible mais jouable devient toujours plus impossible. Cependant, si on regarde le déroulement de la partie, c'est peut-être aussi plus pour n'avoir pas su enfoncer le clou par les lignes arrières en première mi-temps qu'on se retrouve dans cette situation. Et si on peut vraiment être satisfait de la bonne tenue des arrières alignés samedi (très belle rentrée de Thomas Girard et bonne tenue d'Aubin Mendes à ce poste inhabituel pour lui de trois-quart aile), on peut penser que si on avait pu aligner au centre Jordi Rougé et Robbie Johnston, voire Antoine Ratinaud, et que Jean-Baptiste Di Martino ne relevait pas de blessure, on aurait eu d'autres arguments pour plus concrétiser nos temps forts. C'est probablement en sachant que les trois-quarts partaient avec un handicap (sans manquer de respect aux joueurs alignés) que le staff a fait le pari de renouveler 6 joueurs de devant sur 8 en cours de partie, hélas pour le résultat décevant que l'on sait.

A force d'excuses et de raisons trouvées, on en oublie la critique dont l'objet premier est l'amélioration.

Massy c'est fini.